Larme de sang

cold blood

En une froide soiré de janvier 1886, le petit peu de neige tombant du ciel, et malheureusement cachant les que trop belle étoiles de ce soir, semble rendre lunatique la jeune femme marchant dans les rues. Ses pensés divague à chaque flocon, et ceux tombant sur le bout de son nez la rammène à la réalité, tout en lui laissant ce sentiment d'être dans un compte de fée, une histoire de rêve, et d'en être la princesse. Quoiqu'elle serait mieux placé pour jouer le rôle du prince charmant. Car en effet, elle manque cruellement de féménité, à ce qu'on lui reproche. Mais elle ne peut que les ignorer, et aimer l'audace d'échapper les standart féminin, en aillant besoin que d'elle-même, et non jamais d'un homme. C'est l'une des plus grandes fierté de Rose Épine, chérissant de toute façon son nom de famille, étant l'un des seules souvenirs qu'elle garde de l'époque, son époque. Ce passé qu'elle semble être inccapable se se débarasser. Il revient le soir, la laissant tranquille le jour. puisque le jour, rien peut atteindre sa tête. Tout est si bruillant, et elle a bien trop de chose à faire. Rose ayant deux travailles, elle est couverte de responsabilité. Mais pour elle, ce n'est rien de bien compliqué. Rose à été formé pour bien pire, l'armé.  Le bruit de la cuisine du restaurant, les chef criant les commandes, et les clients demandant leur service, et encore, on n'oserait oublier de mentionné les enfants. Si mignon, et pourtant, briseur de patience et de tympan. Tout ça, sonne comme une mélodie douce à dormir debout, comparé aux crie de guerre, aux commandement des chef, et dans ce contexte, on ne peut avoir l'audace de ne pas mentionné les bombes. Elle préfère de loin son confortable café. Et encore plus son deuxième travaillle, la librairie. Elle y travaille si calmement. Indiquer et vendre les livres, et ranger. Pour elle ce n'est pas travailler, et pourtant elle est tout de même payé. Elle ne peut se plaindre, elle économise. De plus, personne semble lui demander son aide. Ils préfère trouver une bonne histoire au plus vite, afin de pouvoir s'évader un peu de leur journée dure et stressante. Alors ils prennent les romans étant les plus populaire. Les femmes de la maison prenne des histoire qui font rêver de liberté, de jeunesse et de romance, et les hommes aux travaille, prennent des bandes dessinés, ou des comédies. Tous deux épuisé devienne client traditionnelle de la librairie Rose-Marie, la plus grosse en ville, afin d'évacuer. Parfois même les adolescents et les enfants. Quoique c'est plus rare, puisqu'ils aiment bien plus aller joué. Et de leur cenne récolté de dure labeur, s'acheter des friandises. S'il veulent des bouquins, ils le demanderont aux parent, qui eux, trouve rarement le temps. Toute ses pensés mélanger dans bien trop de parenthèse parcour sa tête. Mais elle ne peut s'en vouloir, le silence laisse toujours place aux pensés.

- C'est normalement bruillant, dans les rues de Paris. Mais comme le soleil descend, le son baisse d'un ton également.  Se dit t'elle à voix ôte pour tenter de briser cette absence de son.

Elle s'arrête de marcher, puis lève la tête afin de regarder la construction de la tour Eiffel. Rose tente de faufilé ses doigt gelé dans son foulard, elle a tant froid. Dans l'armé, des entrainements difficiles l'on habitué a ce genre de froid, pour elle, c'était rarement frisquet. Et pourtant, les autres tremblait ne la comprennant pas. Mais c'est à son tour, maintenant. La jeune femme ne connaissait pas vraiment le sentiment d'avoir froid. Elle était immunisé, mais son corp nouvellement habitué à la chaleur, à changé. Et elle n'en ai pas ravie dutout. Elle déteste cette sensation désagréable. Pour elle, ça n'en es presque une torture. Elle n'aimerait ne plus jamais avoir froid. Convaincu que même son sang est glacé, elle reprend vite son chemin et avance le pas pour retourner à sa chambre et s'y couler un bon bain chaud. Ensuite, elle cuisinera un bon repas à son ventre affamé, pour enfin se couché en lisant une histoire qui l'endort. Pour elle, cette banale tradition termine sa journée parfaitement. Rose, qui n'aurait jamais pensé pouvoir vivre ce genre de petit moment,  les chéries à chaque fois et se rend compte se sa chance. Du haut de ses 18 ans, elle est très mature comparé aux autres jeunes femmes. Tous cherchent l'amour d'un homme, tandis que la demoiselle, ne cherche qu'a s'aimer elle et sa vie. Quoique, elle se sens seule. L'armé ne la laissait jamais seule. C'est une chose à laquelle elle ne semble pas s'être adapté. Une fois à la maison, elle allume ses bougies, nourris son chat, donne à boire à ses fleurs, puis effectue sa routine. Une fois dans son lit, elle caresse son chat, tout en finissant le dernier chapitre d'une histoire qu'elle n'a pas tant aimé. Elle aime la nosltalgie que lui apporte la lecture de livre parlant de la guerre, ce sont ses préférés. Biensûr, puisque c'est à peu près tout ce qu'elle connait. Mais cette fois, elle à laisser Belle, sa meilleure amie portant bien son nom, Décidé. Disant les ''vieux bouquins'' de Rose ennuyeux. Le roman parle d'une histoire romantique d'une femme et d'un prince vampire. Elle disait aimer les frissons qu'apporte l'histoire. Le désir, l'interdit, la sensualité, le mélange d'amour et de haine et la dangerosité qu'il s'y trouve la font rêver. Et bien, encore une preuve de leur différence, puisqu'aux yeux de Rose, l'héroine n'est qu'une gamine stupide qui, aveuglé par le physique du prince vampire, ne se rend pas compte de l'innatention et l'imprudence dont elle fait preuve. De plus, elle ne l'a suit pas, ne la comprend pas. Brooklyn Amber, le personnage principale, à perdu trace de ses propres sentiments. Elle le déteste, elle l'aime ? Le fuit, le suit ? Non, ça ne fait aucun sens. Et même si elle tente fort bien de le faire comprendre à sa belle amie, elle lui répond qu'en protégeant son roman préféré. La disant non empathique et non imaginative. Puis disant que ce serait même se côté non-sensé qu'elle aime tant. Rose a donc continuer le livre afin de comprendre les sentiments de son amie, mais inutile. Ce n'est simplement pas son genre. Rt depuis la lecture, des rêves de vampire remplace ses rêves habituelle, et ça la perturbe. Elle ne croit en aucun cas de telle histoire fantastique. Belle disant rêver du jour ou elle tombera sur son prince vampire, ne monte que sa haine envers ce roman, ''cros dans le coeur'', d'avantage. Elle ne peut juger son amie, puisque ce livre est adoré par toute les femmes. C'est même le plus vendu à la librairie. Ce qui, elle doit l'avouer, la rendu curieuse. Comment peuvent-il romantisé une histoire si sinistre ? Pauvre Brooklyn pensa-t'elle. Ce n'est pas un prince, mais un monstre. Il n'est pas là pour te mettre un collier au cou, mais bien ses crocs. Il ne te remplira pas d'amour et de cadeau, mais il te videra de ta vie et de ton sang. Tu ne pourras que le détester. On ne peut aimer un tel monstre. Elle soufla donc sur la bougie l'éclairant, puis s'enroula dans ses couverture bien au chaud avant de tomber endormit. En pensant évidemment a cette pauvre Brooklyn.