Short Story

The letter of the last breath (snk)

La 57ᵉ expédition commença, à la sorti des portes, l'aire de l'extérieur fut léger et apaisant enfin d'apparence, car ont se trouvent en territoire ennemi, et sur ce terrain le danger était bien présent. Aussi imprévisible et fougasse que les vagues un jour de tempête, la menace pouvais venir de partout et la vigilance devait être optimale.

Ont n'étaient partis, diriger par le major Erwin Smith, en formation de détection les troupes élites a l'avant, les chariots au milieu et le reste des soldats dispatcher à gauche, à droite et à l'arrière. Moi je me trouvai à l'avant un peu plus en n'arrière de l'élite, mais je ne m'étais pas du tout préparée à ce qui aller arriver. La brume était tombée il fessait froid et les fortes rafale de vent rendait difficile l'avancée de la formation et la vigilance diminuée drastiquement.

On continua d'avancer tout en étant prudent, je sentais que les recrues avaient peur qu'ils n'étaient pas assez sur leurs gardes. Puis les choses se sont corsées, une silhouette d'une grande envergure et d'une maigreur extrême apparaissent au loin, et plus ont s'approcher plus elle grandissait. Et d'un coup sans être préparé à sa la bête nous tomba dessus, en attrapant l'un des soldats à ma droite.

Un crie surgi suivit d'un craquement d'os, un coup fatal qui désormais était sans vie, un seul coup bien placé a suffit pour que la mort survienne, remarquée un seul coup de la mâchoire puissante et acéré de ce monstre pouvait suffire à tout. Le crie résonner partout dans la forêt sous le regard apeuré de touts nos frères d'armes, un crie si fort qu'il en fit vibrer les arbres et volés les oiseaux c'était t'horrible à voir. Et toujours affamé l'humanoïde se retourna et choppa sa deux victimes la plus proche, et le porta à sa bouche. Moi je n'étais qu'à quelques mètres de lui j'aurais pu le sauver mais j'étais tétanisé, paralysé de peur.

Puis d'un coup le silence parut et seules le vent qui chanter et les bruissements des feuilles s'agitant venait obstruer se calme. Et c'est dans une danse macabre que commença la folies rouge sous mes yeux. Le carmin giclé sur les trons d'arbres, l'écarlate éclaboussée son visage, le vermeil colorée l'herbe fraîche, le pourpre sortez du Corps de sa victime. Et telle une bête sauvage sa proie fut réduite au silence, dans un calme olympique et une férocité absolue que la chasse reprena, il ne nous fallut pas longtemps pour le comprendre, se relevant difficilement dû à son corps trop grand nous avions largement le temps de partir mais tous était paralysé moi y compris, et il entama ensuite une poursuite rapide droit vers le bétail qui était t'autre que nous, ont tenté de fuir d'une mort certaines, mais malheureusement pour nous nos destins fût tout tracé, ce même destin qui nous chanter qu'on finirer tous dans la gueule du monstre, et oui parce qu'à trop titiller notre avenir ont n'avaient joué avec nos vie et avaient perdu. Car un jour ou l'autre la sentence tombera et c'était irréversible, alors pour survivre le plus longtemps possible on fuyez, le combat, la mort, cette endroit qui n'était maintenant que sang et cadavre.

Seulement ont ne fut pas assez rapide et les grandes foulées de courses émises par ce colosse nous rattrapé bien vite, et c'est à coup de pied que tous valsa à terre, chevaux y compris, qui après leurs chutes ne nous ont pas attendu une seconde de plus pour détaler nous laissant à la merci du monstre, terrorisés et effrayés à l'idée de finir dans la gueule puante du géant. Et la vision d'horreur débuta à commencer par l'un d'entre eux écrasai comme un vulgaire insecte, puis l'autre fut pris pour un ballon en volant à plusieurs mètres finissant sa course folle percutée sur un arbre et pour finir le dernier fut broyé dans la main du titan, la tête finissant par tombé à terre et le reste englouti. Enfin ce qu'il en restait. Moi j'étais la dernière survivante et j'ai prié si fort les déesses que je crois bien qu'elle n'on entendit, car par un miracle sans compter j'ai réussi à m'échapper.

Puis la nuit avait commencé à tomber les étoiles se montrent et la lune me narguer de sa hauteur, je marchai seule, sans cheval qui avait fui, sans compagnons qui était tous morts, sans gaz qui m'avait lâché, sans ma conscience qui était parti et sans vie autour de moi. Seule face à la pleine qui s'étendes à perte de vue.

Je savais que ma fin avait sonné, qu'il ne me resta plus longtemps à vivre avant de finir en pâte à titans, mais je voulais au moins avoir une chance de la finir sans regret c'est pour quoi j'écris cette lettre avant de mourir. Et elle t'est destinée.

À toi qui liras cette lettre je voulais te dire que ma vie a était remplies de bonheur grâce à toi, que je n'aurais pas vécu plus longtemps si tu n'étais pas là, que ces 10 ans passer à tes côtés resterons dans ma mémoire à jamais. Que j'aurais aimé te revoir sourire encore et encore, t'entendre également rigoler à mes blagues plus nuls les unes que les autres, mais malheureusement cette expédition ne c'est pas passer comme elle aurait dû se passer et tout et parti en lambeaux. Elle est belle sa fameuse reconquête, des milliers de morts, des centaines de disparus, des dizaines de blessés et des millions de personnes qui pleurent sur leurs tombe voilà ce que cette expédition apportera, et même si je ne serais sans doute plus là pour le voir sa ne fait aucun doute, je suis sûre qu'une manifestation des paysans naîtra pour demander la fermeture du bataillon. Mais ne t'inquiète pas je serais toujours là et je te surveillerais de là-haut, je pourrais également faire mes propres choix et vivre la vie au lieux de la subir. Je serais enfin libre comme j'ai toujours voulu l'être.

Nous sommes en l'an 850 et ce récit que je te compte, c'est évènement passer on était vue et vécu par une survivante miraculée qui finira par périr minablement sur une branche d'arbre, quel ironie ! Alors au moment où tu la liras imagine-toi que je suis heureuse la ou je suis et que le vœu que j'avais formulé avant de partir en expédition c'est réalisé, repense s'y a cette phrase que je t'ai dit et si tu la oublier laisse-moi te la rappeler " Je te promets que si je devais mourir ça sera pas dans la gueule de ces immondices".
À toi qui conteras le récit morbide de cette puisante défaite sache que je suis heureuse maintenant.

Et que mon dernier souffle signera la fin de ma lettre.

The end

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Bonjour à tous, désolé pour le retard, je devais la poster dimanche mais un petit contre temps et venu s'interposer. Ducoup la voilà aujourd'hui, je reviens donc avec une autre mini histoire sur l'univers de snk, ce manga m'inspire énormément voilà pourquoi y'en n'a autant, mais ne vous en faite pas j'ai pleins d'autres histoires à vous proposer tout droit sorti de ma petite tête. En espérant ne pas vous avoir fait trop attendre et que sa vous plaira.

Bonne lecture et à dimanche