Le gamin et le loup /SMS STEREK/

Chapitre 3

Hey tout le monde, j'espère que vous allez bien et que vous avez passé une bonne semaine et un bon week-end ! La mienne a été catastrophique... Enfin bref.

Je vous poste le chapitre 3, qui j'espère va vous plaire. Je suis très déçu de ce chapitre j'ai l'impression de l'avoir bâclé mais impossible de le réécrire donc je vous le partage quand même !

Un immense merci à toutes les personnes qui votent et qui commentent mon histoire, ça me fait énormément plaisir !

Bonne lecture !

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« Stiles ?

- Sa...Salut Derek.

Un silence s'installa directement entre les deux hommes. Un silence plutôt gênant. Stiles étant celui qui a initier l'appel pour réconforter Derek prit une respiration et commença à parler. Il était actuellement toujours dans sa jeep garé sur le parking du lycée. Heureusement que son père était de nuit sinon il l'aurait déjà appelé pour demander ce qu'il fabriquait encore dehors.

- Derek... je sais que c'est bizarre que je t'appelle surtout qu'on ne se connaît pas mais je voulais faire en sorte que tu passes un meilleur moment aujourd'hui. Oui, je sais, mon appel ne va sûrement rien changer à ta vie. Je ne suis qu'un inconnu, mais j'ai pas réfléchi et si tu veux que je raccroche tu peux le dire tu sais, je....

- Stiles. Tait toi.

Le jeune homme paniqua un instant, ayant l'impression d'avoir froissé l'homme mais fût étonner quand Derek continua à parler :

- Merci. Merci d'essayer de me remonter le moral. Je n'ai pas l'habitude. Et dire que je suis au téléphone avec un adolescent qui veut me réconforter.

Stiles fut soulagé en entendant ce que dit Derek. D'ailleurs, l'adolescent aimait beaucoup la voix de l'homme. Elle était grave, assez dur et ferme, mais elle était comme chaude en même temps. Il n'avait plus envie de raccrocher mais d'écouter en boucle Derek parler.

- Tu as été là pour moi. C'est la moindre des choses que je puisse faire pour toi. Perdre un membre de sa famille c'est déjà très dur mais alors perdre toute sa famille je n'imagine pas la douleur que ça peut faire. Donc si tu veux pleurer, hurler où même ne rien dire, fait le, lâche toi. Je ne te jugerais pas, je ne te jugerais jamais.

- Des larmes j'en ai déjà trop versé. Hurler ? J'ai besoin de ma voix pour faire cours. J'aimerais ne pas en parler. J'aimerais ne plus y penser aujourd'hui. Est-ce que ça fait de moi une personne horrible de ne plus vouloir y penser ?

- Nan pas du tout au contraire même. C'est tout à fait normal.

- Toutes les nuits j'en fait des cauchemars. Mais des cauchemars tellement réels. J'ai l'impression de revivre la scène encore et encore. Dis moi Stiles comment on sait quand on rêve et que ce n'est pas la réalité ?

Stiles réfléchit un instant. Il ne savait que trop bien ce que traversait Derek.
Lui-même faisait des cauchemars de sa vie par moment, il ne savait plus faire la différence entre rêves et réalité. Mais maintenant, l'hyperactif savait comment faire pour savoir si c'était un rêve ou non.

- Dans un rêve nous avons plus que dix doigts. Quand je fais un cauchemar qui m'a l'air réel, je commence à compter mes doigts et si je vois que j'en ai plus de dix je sais que ce que je vie est faux et je fais tout pour me réveiller.

- Mhh. Je vois.

Un nouveau silence reprit place entre les deux mais cette fois-ci, c'était plus confortable et moins gênant. Mais Stiles n'aimant pas trop les vides, essaya de les combler en reparlant :