『Le bonheur est partout, il faut savoir l'extraire』
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J'approche doucement mon visage de la fenêtre et vois qu'il y a je ne sais combien de voiture derrière qui commence à freiner vite.
Au début j'ai pas trop compris pourquoi il y avait tout se bruit mais quand je vois quelque gars sortir des voitures, j'ai vite compris à peut près se qui aller se passer.
Mon visage se tourne vers le voisinage pour voir s'il y a des personnes qui regardent comme moi la scène, mais depuis quelques minutes je n'entend que les volet des fenêtres claquer dans toute la ruelle
Donc si je comprend bien, personne va appeler la police ou autre.
Et aussi où est passer Valérie, la voisine d'au dessus qui fait que râle à chaque fois quand il y a du bruit dehors.
Je lève ma tête pour voire si elle va faire une remarque en haut mais non ses volets se ferme à elle aussi.
Il y a que moi qui trouve que c'est pas normale on dirait.
Mais quand mon regard se balade vers les bancs, je commence à d'un coup penser au clochard, c'est vrai que je ne le vois pas, il est où celui là ?
J'observe s'il est là à son endroit habituelle mais on dirait que même lui a dû partir avec tout ce bruit.
Mais le dilemme que je rencontre maintenant c'est de soit regarder la scène ou soit faire comme les autres sa veut dire fermer les volets et faire comme si rien ne s'était passé.
Au début j'étais plus penché sur le faite de faire le même comportement que les voisins, mais après quelque minute j'ai craqué.
Je repart dans mon appartement prendre une petit chaise et ferme toute les lumières en laissant juste une ampoule allumer vers la fenêtre.
Entre le films et la réalité le choix est vite fait.
Dès que je m'assis sur la chaise, je d'instinct vite que leurs voitures c'est pas des modèles de merde, loin de là, ça a dues leur coûté une blinde pour se lancer dans se genre de scène.
