Depuis si longtemps.
Tu ne devrais plus m'habiterAlors pourquoi t'
Acharner
à me dérober mes rêves ?
à peupler mon cœur ?Je
me
réveille
Encore
Si souvent avec
Ton
visage sous mes paupières,
Ton nom sur les lèvres
Le souvenir de tes bras autour de mes Épaules, de ton
étreinte, trop
Vivant contre ma
Peau.Tu me dérobes aux autres, tu
me voles à moi-même
et
Je ne sais que
chérirTon Souvenir.
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J'écris donc je suis
PoetryPoèmes abandonnés, jeux de rythme morcelés, vieilles perceptions jaunies dans la mémoire... Comprenez ce que vous voulez, ce n'est ni une énigme que je dévoile à moitié, ni un secret que je garde pour moi : ce sont des souvenirs d'une vie et un beso...