Sasuke
Maintenant sa fait deux semaines. Deux semaines que je l'ai quitté, deux semaines qu'elle revient chaque pour me supplier en pleur pour que je la reprenne, c'est deux semaines étaient atroce, malgré que devant Sakura, je m'efforçais d'être le mec sans cœur dieu seul sait combien de fois j'ai failli craquer.
Après tout, Sakura a été un très grand pilier quand j'étais au plus bas, enfermé dans la dépression où les seul moyen pour m'échapper était l'alcool, la drogue et les plans culs rencontrer Sakura avait été la plus belle chose qui me soit arrivée dans mes vingt ans de vie ,c'est grâce à elle que je suis devenu l'homme que je suis aujourd'hui et je lui suis reconnaissant.
Je sais qu'elle m'aime et que si je l'a laisse maintenant elle risque d'être comme mon moi d'avant et sa je le refuse mais je ne pouvais pas continuer de lui mentir.
Enfaite non ce n'est pas à elle que je mentais c'est plutôt à moi, je me disais que si j'étais avec elle les sentiments que je ressentais avant pour elle allait fini par revenir mais plus j'attendais et plus mes sentiments diminuait, puis j'ai fini par accepter et l'ai quitté mais sa veux pas dire que je ne l'aime plus, je l'aime mais c'est seulement que ces sentiments là ne sont plus amoureux, ils sont plutôt affectif.
J'ai besoin de me changer les idées et quoi de mieux qu'une bonne promenade.
Étant donné que j'étais déjà préparé, je prend juste mon manteau, mon écharpe, mon téléphone et mon porte-monnaie.
Je sort de mon appart puis ferme la porte à clé, je rentre dans l'ascenseur et appuis le bouton qui me permettra de descendre au rez-de-chaussée.
Deux minutes plus tard je pus sortie de l'immeuble, a peine sorti, j'ai été accueilli par le vent glacé de l'hiver.
Je marcha dans la ville de Tokyo sans avoir de destination, laissant mes pars me guider et tant pis si je me perd j'appellerais un taxi sa ferai suffisamment l'affaire.
Marchant dans la rue la tête baissée, je ne fais pas attention à où je vais, de tout les façons je m'en fou tant que j'arrête de réfléchir comme un malade sa me va. En ce moment je réfléchis tellement que j'en faire des nuits blanches les cernes sous mes yeux pourrons en confirmer, tout sa pour avoir des réponses à ses questions << comment tout cela a pus tourner mal?, comment puis je le revois ne serait ce une nuit?, comment je pourrais faire mon comming out?, comment mon père pourrais le prend?>>.
Un petit bruit s'échappa de mon ventre me signalant que je commence à avoir un petit creux, pour la première fois depuis ce matin je lève la tête pour me repéré et voir où trouver un café ou fast-food.
Je marcha encore un peu, puis trouva un café vraiment kawaii.
L'extérieur était rose bonbon et bleu pastel, c'était vraiment beau à voir. Mon ventre fait un bruit bizarre pour dire que je n'étais pas venir ici pour la contemplation, loin de là.
La petite cloche retentit signalant mon arrivée, je pus constater que le café est aussi beau de l'intérieur.
Sur les murs étaient peints un paysage de ciel et terre où des fleurs de cerisier tombait
majestueusement.
Ce dessin était aussi vrai que nature à couper le souffle, aussi les rires, voix et l'odeur du café donnait un air chaleureux qui me plaisait beaucoup me faisant oublié le temps glacial dehors et surtout dans ma tête.
Je tourne la tête pendant une seconde pour chercher une place libre, et je la trouva derrière la vitre.
Assis, j'admirais le café c'est vraiment ce qu'il me fallait, je compte revenu ici la prochaine fois.
- Bonjour monsieur, puis-je prendre votre commande ?
Je souleva ma tête et voir une belle jeune femme, avec un sourire tout aussi chaleureux que ce café.
- je veux du café avec deux croissants s'il vous plaît....dis je en lui rendant son sourire.
Quelques minutes après, elle revient avec ce que j'ai commandé entre ces mains, puis le déposa sur la table.
- bon appétit... dit-elle sans jamais lâché ce sourire
- merci
Ayant trop faim je commença à entamer mon café et mes deux croissants comme si je n'avais pas mangé pendant des mois. Je suis sûr que les genres me regardaient de travers, vu la façon dont je mange comme un porc mais je m'en fiche, j'ai trop faim pour regarder l'avis des autres.
Soudain deux rires s'éleva de derrière moi, sur le moment je me suis pas occupé trop occupé à savourer mes croissants mais lorsqu'un nom à été prononcé, ce même nom qui me fait perdre la tête, qui est la cause de tout mes problèmes, je n'ai pas eu d'autres choix que de quitter précipitamment le café, non sans payer.
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Je sais sa fais longtemps mais comme je disais je suis un peu frustré en ce moment mais sinon ont s'approche de la fin.
