Dans cette pièce noire, je nous regardais alors
Traversent le miroir, je me tuais de remords
Cueilli comme une fleur, que je trouvais belle
Pousser à avancer, je t'étais fidèleRecouvert de cadeau, je tombe en lambeau
Reconnaissant des mots, remarquant ton fléau
Âme empoisonnante, suce la dernière goûte
De ma vie dolente, celle qui dégouteInsomnie courante, rêver du paradis
Sentiment indolent, je m'échappe du bruit
Cherchant les émotions, je fais l'introspection
De ma déroutante, et triste perceptionLe monde se détériore, avec je m'évapore
L'amitié est utopique, comme la vie après la mort
Esprit idyllique, mon modelage parfait
À cette société, m'a laissé sur le quaiPerdu dans le vide, ma personnalité
Et à la dérive, me faisant pitié
Restant bloqué ici, au fond des abysses
Cherchant la vérité, au sommet je m’hisseTemps irréversible, je cherche une cible
Longeant ce grand château, je fuis l'impossible
Pleurant toutes ces heures, je tourne l'aiguille
Comptant les secondes, j'irais jusqu'à milleUne joie dystopique, je n'existerais plus
Le bonheur est si long, je longe cette rue
Souhaitant le connaître, je cherche qui je suis
J'espérai être, ta décalcomanie
VOUS LISEZ
Aliénation
PoesieDe simples poèmes écrient durant mes courantes insomnies. Les mots de mes maux.