Bruit de taule et bruit d'acier
Fracas et cris des limbes.
Mon esprit lourd est damné,
Ère seule au milieu des rhumbs.Où sont les baisers langoureux
Qui apaisaient nos jours ?
Le ciel n'a plus était bleu
Depuis ton départ mon Amour.C'est chaque jour des pioches,
Qui dans mon sein viennent cogner
Si près de mon cœur tu t'approches,
Prend garde à la fosse creusé.Jamais ne s'arrête l'usine infernale,
Les mécanismes grondes sans vie.
Du port sombre jaillissent des râles
Quand les bateaux plein fuient.Toc Toc fait la chaire pourrie,
Qui tombe doucement sur le sol
Tac Tac fait le bruit de l'aiguille,
Qui déréglée danse sur la boussole.Et mes paupières rouillées,
Attendent braves le signal,
Lorsque que la faux sera levée
Elles se fermeront sans un râle.MAD