La Balade Des Chercheurs (Part. 1)

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Ce jour là, il se réveilla, avec un sentiment de malaise. Un malaise puissant qui lui donnait envie de rester au lit. Il s'efforça de se lever. Il entendit la sonnette de chez lui. Il descendu rapidement les marches de son escalier, presque au point de tombé, et alla ouvrir. Il remarqua au même moment que sa mère n'était pas la, et, ayant vu la porte de la chambre de celle-ci ouverte, il en jugeait qu'elle ne dormait pas. Il ouvrit la porte. Son ami Enzo, était vu le voir. Il lui expliqua que ses parents avait disparu, et que, malgré de nombreux appels à la police, aucune de ses tentatives de communication n'avaient fonctionnées. Clément décida à son tour d'appeler la police de chez lui. Rien. Le silence, même pas un bip, le néant. Enzo entrepris le fait de montrer son pouvoir à Clément. Il fit, lui aussi, un grand geste du bras droit. Tout d'un coup, une armure qui paraissais être dotée de technologies avancées apparu autour du corps d'Enzo. Puis, uniquement par la force de la pensé, il degaina une énorme arme à feu automatique comprenant approximativement 200 munitions. Enzo ne se demandais pas pourquoi il avait ça, car pour lui, il ne fallait pas s'en pleindre. Clément garda son pouvoir secret, enfin aux yeux d'Enzo.
La prochaine destination de nos deux personnages fut la maison de Matthieu. Ce jeune, arrogant mais attachant tout de même, avait lui aussi un pouvoir. Il le montra. Lorsqu'il parlait en même temps que nous, il avait une voix normale, mais qui paraissait plus forte que la notre, à Enzo et moi. C'est comme si son pouvoir lui donnait beaucoup de charisme, qui était plus puissant que celui de n'importe qui.
Nous allions ensuite nous diriger dans la maison de notre chère Thomas. Après avoir sonné 3 fois, nous avions décidé de rentrer car celui-ci ne venait pas ouvrir. Impossible de le trouver chez lui. Nous nous étions demandé si l'on était à la bonne adresse. Évidemment, oui. Il n'était simplement pas chez lui. Après plusieurs réflexions, on était d'accord sur la possibilité qu'il ne possédait pas de pouvoir, et que par conséquent, il n'était pas présent. Nous avions prévu de parler deux ou trois minutes chez lui au cas où il se cachait. Mais au bout de trentes secondes, nous nous sommes rendus compte que nous étions dehors. Puis sorti de nulle part, Thomas se montra. Après nous avoir expliquer son pouvoir, nous nous étions remis en route en direction de la prochaine personne qui pourrait nous aider. Nous avions pour but de nous réunir entre amis, un groupe qu'on pourrait qualifier de bande de potes. Sur le chemin, Enzo nous interompi, et, de manière instantané, il dégaina son armure. Il nous précisa qu'il pensait avoir entendu quelqu'un.
Un inconnu sorti des buissons. Son visage était couvert d'une ombre qui ne laissait qu'apparaître ses yeux. Enzo s'empressa de tirer sur cet homme, mais d'un coup, il avait disparu. Après avoir épuisé la moitié des ses munitions, Enzo arrêta de tirer. Du sol, sorti ce même homme. Il répliqua avec une phrase que nul comprena. Cette phrase était : "Tu ne dégaine pas plus vite que mon ombre". Enzo s'écria, après avoir perdu son sang-froid, qu'il ne devait pas nous sous-estimé. Thomas cru comprendre, et par un simple mouvement de bras, il avança de cinqs minutes dans le temps. Il vit Enzo qui était blessé, prêt à mourir sous les coups d'un ombre. Il me fit signe de remonter le temps, ce que je fit. J'ignorais comment, mais il avait connu mon pouvoir et le sien ne m'était pas inconnu non plus avant son expliquation. Enfin, je remonta de cinqs minutes dans le temps. Enzo était prêt à tirer mais l'ennemie disparu aussi tôt, puis réapparu directement après avoir n'entend aucun coup de feu. Thomas informa Enzo que cette homme pouvait controller, d'un moyen inconnu, son ombre. Matthieu qui avait aussi entendu les paroles de Thomas, s'écria de sa voix pleine de charisme, que son pouvoir était un pouvoir lâche, car s'en prendre à une personne alors que l'on est deux, c'est que l'on veut caché un complexe d'infériorité,. L'égo de l'ennemie en pris un coup, et l'on vit, tout les quatres, l'épaule de celui-ci se fracturer. Matthieu ajouta,
   "C'est sûrement pour ça que tu n'as pas de petite amie!".
On vit alors l'ennemie se faire fracturer l'autre épaule. C'est comme si les mots de Matthieu fesait aussi mal à l'égo de la cible, qu'au corps de la cible elle même. Enzo tira alors ses dernière balle qui fonçaient droit dans les genoux ainsi que les bras et les pieds de l'inconnu. Il était à terre pour de bon. Mais il disparu et son ombre se releva du sol. Il était à terre oui, mais pas mort. L'ombre sauta sur Enzo et au moment de le frapper, Enzo sorti du casque de son armure, un harpon tranchant. Il empala l'ombre qui laissa couler du sans sur Enzo. L'inconnu était décédé. Nous avons repris notre chemin, en restant sur nos gardes.

-Stats-

Enzo :
  - santé : bonne.
  - pouvoir : armure technologiquement très avancé.

Matthieu :
  - santé : bonne.
  - pouvoir : grand charisme, les phrases qui blessent l'égo de la personne blessent aussi la personnes.

Thomas :
  - santé : bonne
  - pouvoir : peut avancer de 5 minutes dans le temps.

Clément :
  - santé : bonne
  - pouvoir : peut reculer de 5 minutes dans le temps

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