La légende de la neuvième épouse

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Avez-vous déjà entendu cette voix s’élèvent dans la brume dès que le soleil se couche ?

Cette voix semble être si proche mais si lointaine a la fois.
Murmurant une mélodie que l’on chante au jeune enfant pour les endormir.
Aucun de vous ne peut l’avoir entendu, car si tel était le cas, vous vous seriez si pied sous terre.
Nul n’entend cette mélodie sans savoir qu’il est déjà trop tard.

C’est à la lueur de la lune qu’elle rode. Torturant puis poussant au suicide toutes personnes croisant sa route.

Je parle d’une histoire qui commence là où la ou la folie d’un homme à vouloir toujours plus de pouvoir, poussa un royaume tout entier dans une malédiction.

Fille d’un roi d’au-delà des montagnes enneigé, la douce princesse prénommé Colombe a la chevelure ébène ce vit donc ce jour ci présenté au roi Romaric. Ce dernier était réputé de pars le monde pour une funeste malédiction lui ayant arraché mystérieusement l’une à la suite de l’autre ces 8 épouses.

Voyez-vous jeunes gens, ce neuvième mariage que s’accordais le vieux roi Rodaric paraissait comme un renouveau sur ce royaume frappé par la sècheresse, les tempêtent et la disparition des reines ainsi que leurs héritiers. Tous avaient profité avec une certaine insouciance des festivités. Admirant leurs toute nouvelle reine, au teint si parfait, les joues rosées et la bouche en cœur. Elle paraissait être une fleur fraichement éclose au côté du vieux roi. Ce qui donnait tout autant d’espoir au peuple était le fait que la famille de la douce reine Colombe, avait offert en dote plus de ripaille et d’or que l’on en avait vus en ce royaume ces années précédentes.
Seulement dans l’ombre des couloirs du château, entre les chants et les rires de cette union, résonnaient comme chaque nuit les pleures plaintifs des fantômes hantant la tour blanche.

Cette tour blanche, élevé en l’honneur de la première épouse du roi Rodaric quand elle portait leur enfant. Une tour au pierres venues des montagnes enseignés, qui restaient à tous invasions, a tout bruits. Seulement cette tour eux le funeste destin d’accueillir toutes les reines avant leurs trépas mystérieux. C’est pourquoi nuls n’ose s’aventurer aux alentours de celle-ci quand vient la nuit. Plusieurs femmes de chambres et enfants ont rapportés avoirs vues des lueurs dansées au rythme du vent, ressemblent vaguement à des femmes squelettiques.
Cependant ce qui reste sure, c’est qu’au moment ou le soleil est au plus bas et que la lune brille de tout son astre, les chiens hurlent en réponses aux plaintes mystérieuse parvenant de la tour.
Revenons à la neuvième reine qui gouverna pendant deux années au côté de son époux qu’elle chérissait malgré sa froideur et ses départs incessants pour les combats. Quand vient le jour béni ou elle annonça au peuple porté un enfant, de nouveau la joie éclata dans le royaume tout entier. Tous attendaient patiemment un héritier qui parviendrait à survivre à la petite enfance. L’on donna de multiples offrandes à la jeune femme qui malgré son corps maigrichon, portait fièrement un ventre bien arrondi.
C’est alors que le roi se trouvait au champ de bataille qu’elle mit au monde le fils tant attendus. Un fort gaillard, épuisant ses nourrices. Une nouvelle ne semblant pas ravir le roi qui a son retour n’adressa qu’un internet très formel a l’enfant.

Cependant la belle Colombe passa désormais ses journées dans la tour blanche d’on elle réfutait les superstitions d’être hanté pour être auprès de son fils qui semblait être une bénédiction des dieux. Les mois s’enchainèrent, puis vient le temps de l’hiver. Une terrible épidémie de fièvre s’empara du royaume du père de la Reine. Elle s’en alla de suite a son chevet, bravant le froid et les neiges. Laissant le prince âgé d’une année a la tutelle de son père. Tous furent admiratifs de voir le roi se rendre si souvent seul auprès de son fils.

Comme vous le savez, cette fièvre décima une bonne partie de la population du royaume d’au-delà des montagnes. Ce qui fut aussi le cas de leur roi qui disparus en laissant comme unique héritier son petit-fils. Le prince Knut, fils de la reine Colombe et du roi Rodaric.
La mort dans l’âme, la douce reine rentra auprès de son enfant, qu’elle découvrit bien mal en points. Il soufrait lui aussi d’une fièvre, mais bien plus violente que celle touchant le peuple. Le petit avait le corps recouvert de plaque. Tout ce qui fut possible fut tenté pour soigner le mal du jeune prince. Mais la mort semblait rodée dans cette tour blanche. Si près de l’enfant.

Alors que la lune illuminait la nuit sombre au dehors de la tours, Colombe priait de toutes ces forces les dieux de bien vouloir épargnées son enfant.
Elle promit de leurs données tout ce qu’ils pouvaient souhaités.
Qu’elle ne serait que leurs servant en échanges d’une vie entière pour son cher fils. Nuls ne surent jamais si les dieux l’on entendus.
Seulement une bourrasque de vent emporta son voile dans les airs, pour venir se coincer dans les vitraux de la fenêtre de la tour. Les portes en bois claquèrent.
Séchant ses larmes, elle remonta rejoindre son fils endormis à l’étage. Les portes claquèrent abondamment alors qu’elle approchait de la chambre de son enfant. Dans un courant d’air, la tapisserie s’envola comme projeté par quelque chose sur la reine pour le plaqué contre le mur du couloir. D’une telle force, qu’elle semblait être bloqué par quelqu’un qu’elle ne parvenait à voir.

C’est à ce moment qu’elle vit la porte de la chambre du prince s’ouvrit doucement. D’où en sortis furtivement le roi. Guettant les alentours, semblant craindre être vus en ce lieu. Ce qui était étrange car il devait être dans son pavillon de chasse. Alors la reine vie son époux glissé dans son escarcelle une fiole tout en se nettoyant énergiquement les mains. Puis il dévala les escaliers en direction du bois et non du palais.

Elle se dégagea alors de la tapisserie et ce précipita auprès de son enfant. Le petit toussait du sang en ce tordant de fièvre. Elle le saisit rapidement pour le tenir tout contre son cœur. Ce fut à ce moment qu’elle comprit en observant les portrait ornement les murs de cette vaste chambre.
Les huit précédentes épouses du roi, certaine d’elle portait leurs jeunes enfants dans leurs bras. Ceux-ci disparaissaient de fièvres, la même que celle qui touchait son fils. Elle avait déjà entendu les bruits de couloirs, ceux racontant que son époux devait avoir un lien avec la disparition en si peu de temps de toutes ces épouses.

Elle s’en alla donc au plus vite dans la nuit noire, déposé son enfant a une simple famille d’un village voisin. Leurs donnants tout ce que sa dote comportait de bijoux pour parvenir au besoin du petit prince. En lui faisant un dernier baiser elle s’en retourna au château, voulant repartir avec ses dames de compagnies en son royaume et ainsi prévenir que la mort de son père ainsi que celle supposé de son fils avait été orchestré par son époux lui-même. Sans doute par le poison qu’il contenait dans la fiole a sa taille. Serait-elle la prochaine sur la liste ?

La jeune reine ne partis points de la cours cette nuit-là, nul ne la vit plus jamais. Vivante en tout cas. L’on entendit seulement les aboiements des chiens royaux tout autour de la tour, et le roi réapparut au palais. Cette nuit-là la tour prit feu, l’on accusa une femme de chambre d’avoir fait glisser une bougie sur la tapisserie.

Le royaume porta à nouveau le deuil pour leurs bien aimé reine et son fils le prince. Tout en préparant le couronnement de leur roi pour le royaume d’au-delà des montagnes qui lui était désormais attribué vus le décès de l’héritier.
Une chose ce produit. Les plaintes que l’on entendait de la tour blanche dévernirent des cris stridents. Couverts tant bien que mal par les tambours du couronnement.

Le feu ?

Il s’éteignait comme par miracles. Les flammes rapetissait plus les cris augmentait. De violente bourrasque de vent fit tombées les arbres autours de la tour.

Seulement la toiture de celle-ci s’effondra, y laissant entrer deux gardes royaux. Nuls ne les revis sains d’esprit. Ils ressortirent des ruines encore chaudes, se griffant le visage et hurlant des phases confuses. Ils diésèrent n’y avoir trouvé ni prince, ni reine calcinée. Seulement une ombre blanche criant, le corps lacéré encore ensanglanté.

Ces deux hommes se donnèrent la mort peu de temps plus tard. Comme tous ceux qui désormais osèrent s’approcher de la tour blanche. Autour de laquelle plus aucune plante ne parvient poussées.

Progressivement l’on érigea une muraille d’où il était défendu du dépassés. Puis les lamentations s’intensifièrent, obligeants la cour désertée le château. De plus, une fumée incessante s’élevait de la tour, l’entourant de brouillard.
L’on raconte qu’un jour d’été ou le ciel était si bleu, un orage éclata. Couvrant de ses nuages le soleil. La pluie inonda les sols des paysans. Cet évènement se produisit à la suite de l’annonce d’un dixième mariage pour le roi Rodaric.
Un tel orage fit fuir tous dans leurs démarreurs. C’est de chez eux que tous entendirent les hurlements glaçants du roi. L’on raconte l’avoir vus s’arracher les cheveux tout en courants vers la tour blanche. Semblant être poursuivit par quelque chose. Il ne sassait de se retourner. Son visage si dur était devenu d’une pâleur de la mort, il hurlant tout en s’excusant.

Qu’est-il arrivé ensuite ?

Ensuite le soleil revient.
Les nuages disparaissaient comme s’ils n’étaient jamais apparus.
C’est ainsi que l’on retrouva le roi Rodaric, enfoncé dans la boue au pied de la tour blanche. Le coup brisé, les cheveux arrachés, le visages lacéré par ses propres ongles et les pieds brulés d’avoir marché sans chausse sur le sol toujours brulant de la tour. De ses pupilles grandes ouvertes, l’on voyait encore l’effroi gravé en elle. Les plaintes venant de la tour blanche cessèrent.

Depuis ce jour, dans tout le monde de Valmdesca, méfiez-vous dès lors que vous entendez des plaintes mystérieuses ressemblant à un chant. La neuvième épouse s’en est levé parmi les morts.
Masqué d’un crane de bouc couvrant sa longue chevelure d’ébène flottant au vent, vêtue d’une des robes des plus somptueuse malheureuses déchiré par les chiens royaux qui l’on sent doute dévoré sous les ordre du roi, elle tient en ses mains un crane encore couronner. Celui jamais retrouvé de son époux.

Certain raconte que ce sont les fantômes des huit précédentes femmes du roi qui hantait la tour qui l’on aidé a sauvé son fils et qui sont venus à son aide quand celle-ci fut assassiné par le roi. La force vengeresse de neuves femmes que l’on a lâchement assassinés pour plus de pouvoir, ainsi que la haine des mères a qui on a arraché leurs enfants.

Peut-être les dieux l’on telle finalement entendue en lui accordent d’exercer sa vengeance ?

Désormais la neuvième épouse parcours notre monde suivit des huit fantômes, elle empoissonne l’esprit de ceux qui s’en prennent aux plus faibles, a ceux qui assassines, a tout ceux qui font du mal.
Si vous vous sentez en dangers, accroché une bougie a une branche pendant la pleine lune. Cela peut l’atrier, la prévenir.

Méfiez-vous de vos pêchers, tôt ou tard la neuvième épouse les sentiras et viendra pour vous.

Méfiez-vous de la force d’un esprit vengeur.

Méfiez-vous

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 06, 2020 ⏰

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