chapitre 1 : morsure

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Je m'appelle Nala . Comme dans le Roi lion , le film préférer de ma mère avant que le cancer ne l'emporte . Je tiens mon nom de se dessin animé . Je ne suis pas vraiment populaire au lycée ou plutôt pas du tout . Cela fait des années que j'essaie d'entrer dans l'équipe de course féminine mais je suis nulle . Tout les soirs je pars me balader en forêt . C'est ma routine .

- Nala ! Je fais un drive , tu veux quelque chose en particulier ?

- Des chips , de la pate a spéculoos et des céréale musli au chocolat !

Lui , c'est mon père . Il est génial et vraiment , vraiment sympa . Il me fait confiance pour tout . Je lui ramène toujours des bonnes notes . J'ai 17,89 de moyenne . On est deux jours avant ma rentrée en première . Je me suis bien adaptée . Je n'ai pas vraiment d'amis a part Tina . Mais elle est plus là pour me faire passer le temps , m'occuper ... fin bref , c'est ma bouche troue .

- J'y vais 'pa .

- Reviens avant 22h .

- Promis .

J'ai de long cheveux blond qui m'arrivent a la taille , ils sont onduler . Mes yeux sont bleu gris et j'ai un visage assez fin et la peau bronzer . Je suis assez mince . Je suis épileptique . Même si mes crises sont très rares . Je fais un footing tout les jours mais je ne suis pas rapide du tout .

J'arrive a l'orée des bois , j'entre dans la forêt . Je vois les arbres défilés autour de moi , sapin , chêne , saule pleureur , chataigner . Je cours depuis bien une heure et il est 20h du soir . Je sors ma lampe de poche . La nuit tombe . Je continue de courir , la musique dans les oreilles . Je repasse Hello de Adèle , une de mes chanson préférée avec Time dans Inception et Experience . J'entends un hiboux hululer , il y en a plusieurs par chez moi . J'adore les animaux . Je veux d'ailleurs devenir educateur canin . J'ai un boulot chez l'éleveur du village . Soudain , ma musique coupe comme si il n'y avait pas de courant . Ma lampe se met a clignoter jusqu'as s'éteindre complètement . J'entends un grognement léger . Comme un ronronnement en plus agressif . On dirait un chien . Ou plutôt , plusieurs chien . Je tourne la tête vers d'où provient le son mais je ne vois rien . Je hausse les épaules et je repars en trottinant vers le chemin du retour . Mais j'entends des pas qui me suivent . Je m'arrête et regarde autour de moi . La tention commence a monter . C'est louche et je commence serieusement a avoir peur . Je tremble . J'entends des respiration , je n'ai pas le temp de faire un pas de plus qu'une détonation retentit comme une articulation qui craque et une chose se jetas sur moi et me mordit sauvagement les cote . Je n'eu pas le temp d'en voir plus . Mes assaillants était repartit et je convulsais sous la douleur . Mes larmes coulaient mais pas autant que mon sang . J'avais un père chirurgien et je savais que je perdais beaucoup trop de sang . Je nageais dedans , une flaque entiere m'entourait . Je hurlas une dernière fois avant de perdre respiration et de tomber dans les vapes .

...

Je me reveillas sur un tapis de feuille d'automne tremblant de froid et de douleur , nageant dans mon propre sang . Il fallait que j'appuie sur la plaie j'arrachas un morceau de mon tee-shirt et je l'utilisas pour presser la plaie béante sur mes cotes droite . Je m'appuyas contre un tron et je me redressas . Je crias de douleur une fois debout , c'était bon signe . J'arrive encore a hurler . Je marche lentement et je me penche pour récupérer ma lampe qui fonctionnait a nouveau . Je pris mon téléphone . L'écran était tout casser . J'eu a peine le temp de voir qu'il était déjà 22h20 avant que mon téléphone s'éteigne a jamais . Je marchas très lentement , chaque mouvement me faisant souffrir un peu plus . Je gémissais a chaque pas , avançant toujours dans la peur que mon agresseur ne reviennent .

Au bout de plusieurs heure de marche lente et douloureuse j'arrivas chez moi . Je frappa faiblement a la porte , parfaitement incapable de l'ouvrir seule avant de me laisser tomber contre le mur . Mon père ayant l'ouïe très fine , arrivas la seconde suivante . Je vis une lueur d'espoir dans son regard avant la prise de panique attendue face a mon état .

Pleine lune Où les histoires vivent. Découvrez maintenant