Un amour de filles

Chapitre 13 : L' accident

PDV Talia.

On était lundi matin, je devais normalement partir pour allez au lycée mais je n'avais pas envie, je voulais encore pleurer comme tout le week-end. Je ne voulais rien faire, et ne parler à personne.

10hoo 

On toqua à ma porte.

Non laissez-moi tranquille !

On ouvrit ma porte.

Faut que je pense à demander à mettre une serrure.

Maman : Ma chérie lève-toi, il est déjà 10h00 !

Moi : Hum pas envie.

Maman : Qu'est-ce qui c'est passé pour que tu sois dans cette état ?

Moi : Hum pas envie.

Maman : Ne me prend pas pour un jambon, il suffit de voir ta démarche de zombie pour voir que quelque chose cloche.
Puis comment t'es habillé !? Tu prend même plus soin de toi ! Je t'aime tu le sais mais je préfère quand tu es toute belle !
Allez hop hop hop ! À la douche !

Moi : Hum pas envie.

Elle soupira.

Maman : C'est à cause de Lily ? Je l'ai jamais aimé cette fille ! Qu'est-ce qu'elle a encore fait !?

Je ne répondis pas.

Maman : Tu veux que j'aille chez elle pour lui parler ?

Moi : Hum pas envie.

Maman : Bon explique moi au moins ce qu'il c'est passé ?

Moi : J'ai voulu m'excuser et repartir sur de bonnes bases avec elle en lui disant que je regretter notre rapprochement mais elle l'a mal pris.

Maman : Hum on dirait bien que vous êtes toutes les deux en tord. Tu as mal formulé tes excuses et elle, elle a mal interpréter t'es mots.

Moi : Hum

Maman : Ignore-là mon agneau, c'est à elle de faire le premier pas pour s'excuser.

Moi : Mais c'est moi qui est mal formulé ma phrase.

Maman : Fait toi désirer ! Me dit-elle avec un clin d'oeil.

Je souris suite à ses mots.
Ça me reboosta pour aller au lycée.

Je me leva, prit un bain et m'habilla d'un débardeur que je m'étais acheté la dernière fois avec ma mère, d'un jean bleu et de bottes noirs.
Je ne me maquilla pas mais releva mes cheveux en un chignon.

Je prépara vite fait une valise et descendis en-bas.
Ma mère m'y attendais.

Maman : Je t'emmène !

Je lui fît un bisous en lui répétant que c'était la meilleure maman au monde puis on s'en allait.

****

On était sur la route depuis plusieurs minutes.
Ma mère avait pris un raccourci pour allez plus vite, c'était un petit sentier.
On avait mis le son de la radio à fond et on accompagna le chanteur de nos voix magnifiques.

Un portable sonna soudainement.
Je regarda le mien mais ce n'était pas lui.

Moi : Mamounette ton portable.

Maman : Ah oui, tu peux me le donner m'a chérie ? Il est dans mon sac à main.

Je pris donc son sac et me mit à farfouiller dedans.
Je finis par trouver le fameux trésor et regarda la notif.

Moi : C'est ton patron.

Maman : Qu'est-ce qu'il me veut lui.

Moi : Il n'a pas laisser de messages.

Elle récupéra son portable et lui téléphona.
Je n'entendais pas la conversation.
je regarda donc le paysage.
Je sentais que je commençais à m'endormir.
Un cerf était sur la route.
Qu'est-ce qu'il est beau.

Hum attend quoi !? Un cerf est sur la route !

Aujourd'hui c'est mon anniversaire ! Je fête mes 6 ans.
Papa m'a préparer un joli gâteau à la framboise.
Comme j'ai finis de manger, je suis allé jouer avec m'a poupée dehors.
Nous sommes allés au parc, on à fait du toboggan, de la balançoire...
Mon père m'a dit de rentré à 15hoo, j'avais encore le temps....
J'ai ensuite emmené Charlotte dans la forêt, j'ai toujours voulu voir un animal sauvage de mes yeux.
On a couru dans les feuilles, je l'ai aidé à monté dans un arbre....
Sans m'en rendre compte tout de suite il faisait presque nuit, je me suis dit que 15hoo était déjà passé depuis un petit moment. Charlotte et moi, nous sommes donc passé par un chemin pour rentrer à la maison.
Moi : Nous sommes enfin sortis de la forêt Charlotte.
Elle ne me répondit pas mais se contenta de sourire.
J'ai regardé à droite, à gauche, pour voir si je pouvais passer en sécurité sur la route.
Maman m'a toujours dit de faire attention au moment de traverser une route.
Pensant qu'il n'y avait pas de danger, je passa. Arrivé de l'autre côté je me suis rendu compte que je ne tenais plus m'a poupée, j'ai donc regardé derrière moi, et j'ai aperçu la silhouette de Charlotte à plat ventre sur la route.
Il était inadmissible que j'abandonne m'a poupée préférer. Je couru donc la récupérer,  lui fît un câlin et me releva, mais je fûs tout d'un coup aveugler par deux grosses lumières blanches.
Quelques jours plus tard, mon papa m'a appris que Charlotte n'avait pas survécu.
Elle me manquer beaucoup....