Des marmottes

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Lamartine : Ne dites pas de bêtises c'est bien vous qui avait rédigé l'article. Mais au fait quel est votre nom je ne le connait même pas ?

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Le journaliste : Eh bien voilà, je m'appelle Francis mais appelez moi Franz.

Lamartine : Très bien Franz, tu peux même m'appelé par mon prénom si tu veux.

Franz : Pas de problème.

Alphonse (le poète) : J'ai un besoin fou de me dégourdir les jambes. Si nous allions nous promener dehors, je connait plein de petits endroits super sympa. Nous pourrions même peut être voir des marmottes.

Franz : C'est une exellente idée !

Alphonse : Alors on est partis !

Le poète attrapa sa veste en cuir et ses bottes et tous deux partirent faire une randonnée.

Après être sortis dehors, Franz s'écria : Quel temps magnifique il fait pour cet saison, ce soleil est radieux !

Alphonse : Tu as parfaitement raison !

Les deux hommes partirent en direction des montagnes par un petit sentier de terre.

Sur la route Franz demanda à son ami : Tu vas souvent te promener dans les montagnes ?

Alphonse : Oui ça m'arrive de plus en plus souvent quand j'ai besoin de trouver l'inspiration, mais aussi lorsque je souhaite me détendre.

Après quelques minutes ils arrivèrent à la lizière d'une grande plaine.

Tout d'un coup, Alphonse s'écria : Là regarde deux marmottes une mère et son petit !

Franz : Tu as raison ils sont tout mignon !

Mais ayant parlé trop fort, les marmottes ont entendu les deux hommes et se dressent sur leur pattes. Et tout d'un coup ils s'enfuient en courant.

Alphonse : Oh c'est dommage j'aurai voulu les observer un peu plus longtemps !

Franz : C'est vrai ce n'est pas de chance !

Puis ils continuèrent leur marche. Après une petite heure ils arrivèrent à hauteur d'un ruisseau et décidèrent de se désaltérer.


Mot de l'auteur :

Voilà un nouveau chapitre un peu plus fantaisiste !

Une amitié d'artistesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant