En Silence. 🔞 {Shim Changmin}

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     J'ai écrit ce texte après un prémice de rêve où ma Princesse m'est apparue. Mon imagination a fait le reste. Et pour cet ange que j'aime de tout mon cœur, qui d'autre que le magnifique Shim Changmin pour ce lemon hétéro...
❤️ A Angel, mon amour❤️

***

     J’espère y être à temps. C'est environ à ce moment-là qu’elle arrive. Je me dépêche. Je ne raterai ce spectacle pour rien au monde…
Je l'ai croisé presque par hasard, il y a plus d'un mois. Dans sa robe blanche des paysannes de ce pays étrange, tenant un gros paquet de linges sous son bras et la main d'un petit garçon lui ressemblant, de l'autre. J’ai été foudroyé. Un ange tombé du ciel ou un démon qui hante mes jours. Qui a pu concevoir une créature aussi délicieuse ? Ses longs cheveux d'un jaune si lumineux, presque blancs, qui reflètent la lumière du soleil m’ont envoûté. Ses yeux verts s’étaient posés sur moi, presque avec effroi. Qu’a-t-elle dû penser d’un étranger comme moi ?
Du fond de sa campagne profonde, où seuls les bruits des sabots des chevaux viennent déranger les habitants, que connaît-elle de l’aristocratie ou de la bourgeoisie dont je fais parti ? Je suis arrivé dans ce pays après un long et épuisant voyage en bateau depuis mes contrées asiatiques. C’est notre père qui nous envoie, mon frère et moi, afin de conclure des affaires juteuses, de terrains à acheter. Mais c’est une toute autre possession que je souhaite maintenant.
Elle avait trébuché devant mon cheval, et son linge s’était étalé au sol. J'étais resté sur ma selle, ne sachant que dire, ni que faire. Lui parler ? Nous ne parlons pas la même langue. L’aider ? J’étais paralysé. Elle ramassait ses habits à toute hâte, me lançant des regards inquiets. Jamais, elle n’avait dû voir un étranger dans la forêt.
Depuis, tous les jours, je guette son arrivée, caché derrière un arbre. Je l’observe aller jusqu’au lac, remonter ses jupons jusqu’à mi-cuisse et entrer dans l’eau pour y laver les vêtements.
Mes yeux mangent sa peau opaline, ses mollets et son décolleté. Quand elle se penche pour rattraper un de ses haillons, je peux, parfois, avoir la chance d’apercevoir la naissance de ses seins, enserrés dans son corset.
Aujourd’hui, elle ne manque pas à l’appel. Elle est bien là. Je suis arrivé après elle. Le petit garçon n’est pas là pour l’aider.
Mon obsession pour elle m’a poussé à chercher des renseignements et c’est mon frère qui les a trouvé. Elle vit dans une petite bicoque, pas très loin du lac, avec ses cinq petits frères. Elle gère seule la maison, depuis que son père est parti il y a bien des années, à la guerre. Il n’est jamais rentré. Sa mère est décédée à la naissance du dernier qu’elle traîne avec elle, un peu partout.
Blanchisseuse chez les riches familles paysannes, elle ramène dans son foyer de quoi réjouir les enfants. Je la suis, je l’observe. Je la mange du regard. Mon cœur est en feu.
Mais oui, aujourd’hui doit être un jour particulier. Peut-être parce que c’est mon anniversaire. Ou bien parce que cela fait un mois que je la scrute sans oser m’en approcher. J’ai décidé que je ne pouvais plus agir comme un lâche. Je dois m’approcher d’elle.

     Je n’ai pas pris Tim, aujourd’hui. Je l’ai laissé avec ses frères. Je vais en profiter pour me laver. Même si j’ai beaucoup de linges et que je n’ai pas le droit d’être en retard chez la famille Walker. Ces anglais qui sont venus s’installer dans nos contrées reculées de Bretagne sont bien plus sympathiques que les familles de la bourgeoisie française qui me pense être une esclave !
Je dénoue enfin mon corset. L’idée de me glisser nue dans l’eau claire du lac me réjouit.
Un bruit. Je viens d’entendre un bruit. Je me retourne pour m’assurer que je suis seule. Un oiseau s’envole d’un arbre, je ris. Quelle idiote. Je laisse tomber mon corset et mon jupon sur l’herbe verte et j’entre tout doucement dans l’eau fraîche qui m’apaise. Libre. C’est ainsi que je me sens quand je me baigne. Je ferme les yeux et pose mes mains sur ma poitrine avant de m’assoir dans l’eau, et la laisser monter jusqu’au cou. Mes cheveux nagent avec le courant. Je repense à cet homme que j'ai croisé.
Jamais. Jamais je ne m’étais permise de penser à un homme. Du haut de mes vingt-trois ans, je ne m’en suis jamais souciée. Pas le temps. Et cinq enfants qui dépendent de moi pour vivre. Alors que s’est-il passé quand je l’ai vu, sur son cheval blanc, son visage annonçant les couleurs d’ailleurs et peut-être d’un monde meilleur ? J’ai laissé mon cœur devant ce cavalier aux yeux fins et tranchants. Étonnante carrure musclée sous un visage si doux. Nos regards se sont accrochés et j’ai noté une lueur pétillante qui m’a donné envie de m’y noyer.
Les Walker m’ont dit que des asiatiques étaient arrivés en ville. Pourquoi faire ? Ils n’en savent trop rien… et je ne suis pas plus avancée sur l’identité de cet homme qui a barré mon chemin. Cet homme qui a volé mon cœur. Mon seul souhait est de le revoir.
Je plonge ma tête en arrière et mouille mes cheveux. La pensée de cet homme me donne des envies peu recommandable, et je suis seule. Les garçons ne sont pas là. Je ne sais pas si je peux…
Je regarde une dernière fois autour de moi, et m’assure de ma solitude. Doucement, avec le clapotis de l’eau qui caresse de façon sensuelle mes mamelons, je frotte du pouce l’aréole rosée en fermant les yeux. Je décide de ne plus avoir le contrôle sur mes envies et laisse ma main trouver mon pubis sous l’eau claire.

     Je ne sais pas comment tenir face à ce spectacle qui s’offre à moi. Je m’attendais à ce qu’elle vienne laver son linge avec son plus jeune frère, mais la voilà seule, nue dans ce lac, se gratifiant elle-même de caresses délicieuses. Mon corps est en émoi, je me sens devenir fou. Ses seins me semblent énormes. Beaucoup plus gros que tous ceux auxquels j’ai pu goûter jusqu’à présent. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de ses doigts les triturant. Une de ses mains est sous l’eau, je ne la vois pas mais mon imagination est assez prolixe pour comprendre. Mon érection est douloureuse, coincée dans le pli de mes vêtements. Ma poitrine est serré et une seule pensée tourne dans ma tête « Changmin, rejoins-la. »
Que dois-je faire… Que dois-je faire ? Écouter la bonne moralité et partir ? Écouter mes sentiments et la rejoindre ? Me satisfaire seul en la regardant ? Cette idée me semble dégradante mais la seule acceptable. Mes yeux ne la lâche pas une seule seconde. Mes oreilles sont emplis de ses gémissements. Sa beauté me transcende. Est-elle seulement humaine ?
Je ne tiens plus et fais descendre mon pantalon en coton jusque mi-cuisse. Mais la terre est glissante et je fais un faux mouvement. Dans ma chute, mon bonheur, c’est que j’ai pu remonter mon pantalon. Mais je suis devant elle. Ses deux bras croisés sur sa poitrine, elle a eut un cri de surprise.
Je secoue la tête comme pour m’excuser, et fais mine de partir. Mais j’entends sa voix. De drôles de son en sortent. Je ne comprends pas sa langue, pourtant j’ai l’impression qu’elle me demande d’attendre. Je ne bouge pas. Couché dans l’herbe humide, relevé avec mes coudes, mon pantalon tâché de boue, je la regarde.
Elle non-plus n’a pas bougé. Ses seins toujours cachés sous ses bras, ses yeux se plantent dans les miens. Elle n’a pas peur. Elle est nue, et quasiment à ma merci. A la merci de n’importe qui, qui passerait par là. Mais non, elle n’a pas peur. Ce que j’avais pris pour de la crainte à notre première rencontre, c’était peut-être autre chose.
Elle ne bouge toujours pas. Mais ses yeux m’appellent. Son visage fin et doux. Sa peau claire. Je deviens fou. Je me relève sans quitter son regard. Comme si j’allais la perdre si je regardais à un autre endroit. Je ne rêve pas, ses yeux m’ordonnent d’aller la rejoindre. Et de toutes manières, je suis incapable de faire autrement.
J’avance vers le lac, tout en retirant mes vêtements. Je suis dans la même tenue qu’elle. Pas de jaloux. J’entre dans l’eau. C’est impossible qu’elle n’ait pas vu mon excitation. Je lui laisse encore le choix de faire demi-tour. De refuser. Mais au moment où mes doigts toucheront sa peau, je ne peux plus promettre d’être sage.

     Mon cœur bat la chamade. Que fait-il là ? M’a-t-il entendu l’appeler dans mes pensées ? Je n’arrive pas à croire que ce rêve devienne réalité…
Il s’avance doucement, hésitant mais son érection prouve qu’il a des envies aussi fortes que les miennes. Je n’imaginais pas que les membres masculins puissent être aussi volumineux. J’en suis surprise. Et son torse. Musclé comme je l’imaginais. Il appelle à se blottir dedans. J’ai envie de me perdre dans ses bras. J’ai envie de hurler. Mais il ne comprend pas mes mots. Alors je mords ma lèvre et j’attends.
Il n’est plus qu’à quelques centimètres de moi et je sens son parfum frais qui embaume mes sens. Je défaille, que m’arrive-t-il ?
Tout vient de se dérouler trop rapidement. Il a saisi mon poignet fermement et a posé ses lèvres pulpeuses sur les miennes. Pour que je sois à sa hauteur il m'a soulevée de l’eau et ma nudité s’est exposée à lui. Mes seins pressés contre son torse autant que mes lèvres contre les siennes, je sens au creux de moi, du feu s’échapper alors que l’eau du lac est froide. Je gémis. Je m’envole. Je sens son sexe dur contre mon ventre. J’oublie tout.
La seule chose qui compte, c’est ses lèvres qui s’entrouvent sur les miennes, sa langue qui vient chercher la mienne. Ce baiser, mon premier baiser. Donné par un inconnu, nu, dans un lac. Mon cœur va sortir de ma poitrine. Je peux mourir maintenant… ou après cet instant. Peu m’importe. Connaîtrai-je, une fois de plus, un plaisir aussi profond que ce baiser ?
Mais il détache ses lèvres des miennes et je ressens déjà un manque, j’attrape sa nuque comme pour lui dire « Ne me laisse pas ». Mais il n'en fait qu’à sa tête. C’est lui qui mène la danse et il s’agenouille pour téter mes seins. Ça me fait rire. Je penche ma tête en arrière et caresse ses cheveux. Sa bouche fait des mouvements de succion agréable sur mes seins qui se durcissent et ses mains se sont plaquées sur mes fesses. Des sensations encore plus fortes que celles de mes caresses solitaires, envahissent mon corps. Des petits bruits plaintifs d’un plaisir interdit sortent de ma bouche. Mes jambes tremblent.

     J’ai goûté à ses seins après avoir goûté à sa bouche et je deviens fou, possédé. Je veux la prendre toute entière et en faire mienne. Le sang afflue dans mes veines et je ne sais pas combien de temps je vais tenir. Je veux lui hurler que je l’aime, lui avouer que je la suis depuis des semaines, qu’elle est devenue mon obsession. Je veux lui hurler que je veux lui faire l’amour toute la nuit, tout le jour, sans m’arrêter. Mais comment le faire alors que je ne connais même pas son nom. J'attrape sa main et la tire sur la rive. Elle n’éprouve aucune résistance. Elle sourit presque. Je ne sais pas ce qui arrivera après que j’aurai joui en elle mais je ne veux pas la laisser. Je la couche sur l’herbe et la regarde. Son teint cristallin qui contraste avec la verdure, une image paradisiaque, un tableau digne d’un grand peintre italienne. Même Mona Lisa ne vaut rien à ses côtés.
Elle vient de fermer les yeux, ça m’intimide. Que dois-je faire de ce corps offert à moi ? Mes doigts glissent le long de sa cuisse pendant que je m’agenouille à ses côtés. Je fais le tour de ses formes, de ses hanches, de ses seins. Je la sens frémir et trembler sous mes mains. Je n’ai qu’une envie, c’est de la pénétrer d’un coup. Mais je me retiens encore un peu. J’ai peur que ce ne soit qu’un rêve qui s’achève au moment ultime.
Je sens ses doigts s’agripper sur mes hanches, et cette fois, c’est moi qui frémit de plaisir. Elle serre ses doigts, les rentre presque dans ma peau. Ses yeux se sont ouverts en grand et elle semble me dire : « Possède-moi ». Pendant quelques secondes encore, je la regarde. La langue n’est plus une barrière, je fais oui de la tête et elle me sourit. Sans que je comprenne, ses mains ont attrapé mon visage qu’elle a collé au sien et le baiser qu’elle me donne me transporte ailleurs. Je ne contrôle plus mon corps et me glisse entre ses cuisses. Son sexe chaud posé sur le bas de mon ventre réveille mes instincts les plus forts. Je me laisse porter par eux et entre en elle avec une facilité déconcertante. Elle est délicieuse en poussant un cri de surprise. J’ai senti la déchirure de son hymen. Elle m’a offert sa première fois. J’en suis ému et cela me rend sauvage, mais j’ai peur. Peur de lui faire mal. Elle pose ses mains sur mes fesses qu’elle guide doucement en elle et je me noie dans son humidité. Ma langue sur ses seins, mes mains dans ses cheveux, je restreints mes envies de puissance et de domination. Je garde en tête qu’elle était vierge et qu’elle m’a fait un cadeau.
Elle me tire doucement les cheveux pour me relever et me regarder. Puis fortement, elle appuis sur mes épaules. Ça ne fait aucun doute, elle veut que je la goutte. Elle veut que je la lape. Je sors de son intimité avec presque regret, mais ma langue parcourt son ventre sous ses frémissements et déjà l'odeur de son plaisir envahit mes sens. Je pose doucement ma bouche sur son pubis et l’embrasse pendant que de mes doigts je caresse son sexe si serré. Ma langue joue avec son clitoris gonflé de bonheur.

     Je ne savais pas que c’était aussi délicieux. Les caresses qu’il me donne me transportent ailleurs, dans un monde sans peine ni difficulté. Sa tête entre mes cuisses que je caresse comme un petit chaton venu se blottir contre moi… Sa langue qui s’unit amoureusement à mon intimité envoie des ondes électriques dans tous mon corps… Et ses doigts, s’amusant à écarter un peu plus les parties encore nouvelles. Non. Je ne regretterai jamais. Quoiqu’il puisse se passer par la suite. Même si ce bel étranger doit repartir dans son pays. J’aurai fait l’amour avec un ange. Moi, Angel, avec un ange.
Les frissons me bercent, je sens la jouissance monter. Que dois-je faire ? Le faire arrêter ou jouir ? Je me retiens et serre mes cuisses autour de sa tête. Il comprend et se relève. Le feu que je vois dans son regard me plaît. J’ai envie. Encore. De lui. Je lui fais un clin d’œil et me tourne sur le ventre, exposant à lui, mes fesses et mon dos. Il pourra comprendre le message qu’il voudra, peu importe. Je l’entends grogner, ça m'excite. Et d’un coup, je sens ses mains me soulever. Il relève mon bassin et appuie mon buste sur le sol. Une main sur ma tête, il caresse mon visage mais je sens qu’il a fini d’être sage. Avec son autre main, il ne cherche plus à y aller doucement et écarte mes cuisses. Je sens son sexe dur se frotter contre mes fesses et s’avancer dangereusement vers mon orifice encore vierge. J’ai peur. Je suis excitée mais j’ai peur. Peut-être que c’est douloureux. Très douloureux. Peut-être que c’est délicieux. J’en ai envie autant que je le crains. Mais son membre glisse et vient trouver mon sexe déjà humide. Il me possède complètement, entrant et sortant, dans des mouvements vifs et rapides, poussant des grognements excitants et viriles. Je l’entends dire quelques mots dans sa langue natale, et me plaît à imaginer que ce sont des insultes des plus salaces. Sa main maintient si fermement ma tête que je ne peux pas bouger. Je suis obligée de subir délicieusement ses coups qui me font décoller. Il augmente la cadence, je me sens au bord de la jouissance. Je le sens au bord de la jouissance. Et il s’arrête. Sans prévenir. Il lâche ma tête et pose ses deux mains sur mes fesses qu’il écarte un peu. Mon excitation est à son comble. Mon cœur au bord de l’explosion. Je sens son gland exciter mon orifice. Et entrer. Sans demander la permission. Juste un peu. J’ai mal. Je mords mes lèvres. Ça brûle mais J’en veux encore. Que m’arrive-t-il ? Je deviens folle ? Pourquoi vouloir avoir mal ?

     Non… c’est trop tentant… mais je ne peux pas faire ça. Pas sans lui demander. Pas sans son autorisation. Je ne dois pas… je ne dois pas… Si serré… Si offerte.
Non Changmin, retiens-toi. Ne la regarde plus, ne regarde pas ce trou tentateur… et en même temps, comment m’en priver. Je m’en veux, je me retiens. Est-ce mon imagination ou bouge-t-elle subrepticement ses fesses pour que je rentre plus profond ? Je ferme les yeux et me laisse porter par ses ondulations. Mon membre entre peu à peu et s’enfonce en ses entrailles serrées. Je sens que je vais jouir, c’est inhumain. Elle émet un geignement délicieux, je me perds dans sa chaleur. C’est un bonheur. Je l’entends soupirer et gémir, presque suffoquer de plaisir… c’est un régal. Cet ange est un régal. Je me perds, je me noie, je me lie à elle. A chacun de mes coups de hanches, je rentre plus profondément et je monte doucement les marches vers l’orgasme. Je n’en peux plus, je ne vais pas tenir, tout va exploser, mais je veux voir son visage. Je veux l’admirer. Je veux l’embrasser. Encore et encore. Délicatement, je me retire dans un de ses râles de bonheur et la bascule sur le côté. Son regard de braise plonge dans les miens et ses joues se sont teintées d’une couleur rouge délicieuse. Le sourire qui se dessine sur ses lèvres me les font manger de bonheur et de délice pendant que je la pénètre délicieusement. Nos bouches ne se quittent pas et mes coups de reins ondulent sur elle dans une danse lascive sans précédent. Elle tient mon visage fermement à deux mains pendant que ses lèvres sucent les miennes. Et je ressens enfin son corps se contracter dans un spasme de bonheur. Ses grands yeux verts s’ouvrent sous le plaisir, et enfin, elle lâche ma lippe pour pousser ce petit cri de jouissance sous les halètements et les soupirs. La voir ainsi me fait couler de plaisir, et la vague puissante me prend enfin, laissant un râle de confort m’engloutir alors que je remplis son intimité de ma semence.
Je m’écroule sur son corps chaud et tremblant, elle m’enserre de ses bras doux. J’ai envie de m’y endormir. Son odeur de cerise ou de vanille m’enivre. Je suis au Paradis, je peux mourir dans ses bras. Ses doigts chauds caressent mon dos.
Secrètement j’espère lui laisser mon descendant et voir son ventre s’arrondir. Rester auprès d’elle… et m’apaiser.
...

À suivre...

𝔼𝕤𝕔𝕒𝕡𝕒𝕕𝕖𝕤 ~ ʀᴇᴄᴜᴇɪʟ ᴏꜱ ᴋᴘᴏᴘ ~ DBSK, YunJae, BTSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant