Une peur incontrôlée

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(Je vous laisse avec l'histoire !!)

On me met des chaînes aux poignets je me met à paniquer, je déteste cette sensation d'être enchaîner, je ne peu reprendre conscience toute suite, je restais la a paniquer dans le noir. J'entends au loins des voix qui sont cent pour cent masculine.

-"On va en tirer un bon prix, mais, elle vient de ou, de quel pays ?
-J'en sais rien mais je peu déjà dire que c'est une bonne prise, les personnes hauts placés aiment se genre de petites pépites
-Au enchère ça va se battre dure pour savoir qui sera le premier à la violer !"
Je dois le dire, j'avais peur, peur de mourir et d'avoir des mouvements entravé, je ne bouge pas, trop apeurée. Après ce que je pensais, des heures de trajet et de souffrance à sentir mes poignets serrés et douloureux. La charrette s'arrête, pour, peu être faire se reposer les chevaux. Une présence, une présence qui ne sont pas mes tortionnaires. Je ne dis rien j'ai repris totalement conscience, la présence, je ne la connaissait pas, je ne savais rien si ce n'est que elle n'est pas hostile, c'est déjà ça. Les hommes parlaient tranquillement, je cherche à savoir où je suis mais, je ne peu rien voir, j'ai un sorte de sac sur la tête. J'écoute donc les bruit, dernier sens qui est, à la fois aiguisé et non entravé. Il y a autour de moi des bruit de vies, de vie qui est animé comme dans les villes, des marchants qui crient pour vendre leurs marchandises. Quelqu'un me parle, une voix qui est douce et a la fois assuré et calme, une voix grave d'un homme. Il doit avoir une vingtaine d'année. Du moins il est au moins aussi vieux que moi. Il me dit tout bas, en chuchotant:
-"Reste calme, je vais te libérer, pas un bruit ou on va être repéré."
Puis plus rien, il ne parle plus, que faire ? Fuire? Pour aller où ? Puis-je lui faire confiance ? Je ne sais pas pourquoi mais mon instinct me dis que je le pouvais, même que je le devais. Quelques secondes plus tard, mes poignets étaient libérés de leurs entraves mais cette libération fit un grand bruit, j'enlève donc très vite mon sac, un homme est devant moi, tout de noir vêtu capuche viser sur sa tête. Il me prit doucement mais avec fermeté ma main, il me dit:
-"Suis moi on doit vite partir
- Au voleur !"
Mes tortionnaires avaient déjà comprit que j'allais leur faussé compagnie. Je suivit donc le mystérieux homme qui me guidait dans les allées de la ville, après des heures, il me pousse dans une taverne et, tous deux essoufflés, on reprend difficilement notre souffle. Il me regarde comme on regarde une bête curieuse. Je me demande qui est cet homme, il est mystérieux et je ne sais pas quoi dire en sa présence. Il s'étire puis baille il me regarde de nouveau et dit sa voix calme et tout simplement magnifique.
-" Viens on va boire un verre.
-Pas avec des gens que je connais pas
- Je m'appel Thomas, enchanté
-Clémentine, de même."
Il se mit à rire je le regarde septique.
-"Clementine ? Sérieux ? Tu es pas gâter par tes parents.
- Je ne me souviens pas qui je suis ni ce que j'ai pu être, mon prénom en fait parti... Malheureusement.
-Tu aurais pu faire mieux"
Agasser par ce Thomas a la capuche toujours visée sur la tête je me retourne  pour partir énerver et je sens que on me retient, mais pas d'une façons agressive.
"- Aller fais pas la tête, je t'embête gentiment, viens je te paye une bière.
- Va pour la bière ! Je te suis."
Il rigole et prend doucement mon poignet pour me faire le suivre on rentre tout deux dans une taverne, je ne comprend pas pourquoi mais j'ai une confiance aveugle en cet homme. On s'assit à une table il demande deux bière et on discute longuement, de tout et de rien, il me pose des questions sur moi, mon passé ou encore mon problème d'amnésie.
"- Je connais peu être quelqu'un qui pourrais te redonner la mémoire, un vieil ami mais, le chemin sera long.
- C'est vrais ?
- Oui"
Je souriais totalement excité par l'idée de faire se voyage. Je baille et Thomas me déclare.
"- Viens on va t'acheter des vêtements parce que la c'est plus possible, tu vas avoir froid à force, suis moi, on dirait une pauvre avec ta petite robe simple.
-Tes un petit con ! Tu es pas cool tu conviendra peu être que je n'ai pas eu le temps de prendre des habits plus approprié que ça !
-Te fâche pas va, je te taquine.
-On se connaît pas assez pour se genre de familiarité hostile personnage qui ne montre pas son visage !
- Je suis pas hostile, du moins en vers toi, je suis pas mal rechercher, si je montre mon visage, je risque d'avoir de jolis problèmes. Viens avec moi on va t'acheter des fringues, je te montrerais mon visage après si tu le veux."
Je ne pu pas faire de protestations, il m'embarque tranquillement dans les rues de la ville, avec l'aisance d'un habituer et l'agilité d'un chat. Il me pousse gentil dans une boutique, je pars avec lui pour trouver des vêtements pour moi, il me montre une robe, je me met à râler je veux un vêtement plus pratique, je trouve un pantalon vert aux motifs militaires je prend un haut aux légers dégradé rouge qui tire vers le noir puis des rangers, ce sont des chaussures, avec une bonne semelle, marcher avec ça ne sera pas trop dure et ça à l'aire confortable. Thomas me regarde puis me dirige vers une cabine, j'enlève mes habits, j'ai l'impression que quelque chose ne va pas, je me regarde à moitié nue dans la glace, mes sous-vêtements sont vieux et usés, j'en achèterais plus tard mais quelque chose attira plus mon attention, une marque noir et rouge étrange, je la regarde intensément puis, je tombe dans les pommes, un flash blanc m'envaillit encore.

(Voila la fin de se chapitre ! J'espère que ça vous plaît, ca fais longtemps que j'ai pas écrits, pas le temps, Fetes de noel ect... bref merci d'avoir lu bisous ! )

La Grande Reine de ShirolandiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant