On m'a poussé à bout, j'étais détruit par les coups et les moqueries qui fessait partit de mon quotidien depuis trop longtemps maintenant. Je transportai la victime de mon châtiment sur mon épaule pendant qu'elle continuât hurler jusqu'à me filer un mal de crâne monstre.
Je la jette au sol puis je prenais le temps de la regardé en détail. Elle leva la tête alors que tout son corps été en train de trembler à cause de la peur. Je posai le sac que je tenais sur l'autre épaule sur le sol et commencé à l'ouvrir pour pouvoir le vider de son contenue.
J'entendis les tentatives désespérées de ma cible de se défaire de ses liens ce à quoi je lui explique qu'elle ne pourra pas se défaire de ces liens et qu'elle devrait arrêter de perdre de l'énergie pour rien. Je monte la caméra sur les trépieds avant de l'allumer tout en essayant d'ignorer les hurlements qui devenait de plus en plus insupportable. Je vérifie alors que tout été en train d'être enregistré puis je marche vers ma proie qui avait enfin cessé de se débattre. Cette fille qui était recroquevillée été l'une des filles les plus populaires de mon lycée. Elle s'amusait à colporter de fausse rumeur sur des élèves isolé comme moi et j'étais bien décider à lui faire comprendre à quel point elle a atteints le point de non-retour depuis un petit moment. Je la regarde encore pendant un court moment puis-je la nargue en lui disant avec un petit rictus sur le visage.
— Alors ont à plus rien à dire à ce que je vois !
— S'il te plait laisse-moi partir, me hurlait-elle en tirant sur la chaine qui été tendu, je n'étais pas consciente que les rumeurs que je lançais t'avais autant détruit. J'éclate de rire tout en sortant mon arme de ma poche avant de lui répondre en laissant ma rage explosée.
—Tu te fou de moi j'espère, tu croyais vraiment que j'allais être bien après que tu as raconté que je t'avais agressé alors que ne nous connaissions même pas. Tous les moutons qui sont tes soi-disant amis n'ont pas arrêté de me harceler que ce soit au lycée ou sur les réseaux sociaux. Je n'avais plus aucun moyen de m'échapper de cette emprise et je compte bien te faire souffrir autant que vous m'avez fait souffrir.
Elle se remit à hurler puis elle rampât difficilement vers un des murs de sa cage pour essayer d'appeler à l'aide. Je tire d'un coup sec sur la chaîne qui la retenait pour la remettre aux centres de la pièce puis-je lui chuchotai à l'oreille en lui tirant les cheveux pour la ramener vers moi.
— ça ne sert à rien de demander de l'aide, nous somme isoler et cette salle est capitonné. Elle essaya de se débattre du mieux qu'elle pouvait tout en me hurlant dessus avec sa voix de crécelle
— Mais pourquoi tu prends à moi et pas à une autre personne qui ta harcelé ?
— Ho mais tu crois vraiment que tu vas être ma seule victime, m'exclame-je en tentant de resté le plus sérieux possible, je vais faire en sorte que chaque personne qui m'ont fait du mal meurt. Cette nouvelle information fessait repartit de plus belle ma proie dans une panique assez extrême. Je la regardais faire en savourant chacun de ses cris comme si j'étais à un banquet d'un grand seigneur. Je m'approche alors doucement d'elle tout en laissant mon regard froid s'ancrer dans sa mémoire.
Elle comprit instantanément que ce n'était pas des paroles en l'air et fessait tout ce qui été en son pouvoir pour m'échapper. Je pointai l'arme doucement vers elle puis j'appuie sans aucun remord sur la détente. Je portais ma main au visage pour nettoyer le sang qui avait giclé sur mon visage pendant qu'elle est en train de gisé sur le sol. Je me dirige doucement vers la caméra pour l'arrêté tout en savourant le fort sentiment d'accomplissement que me procurais mon geste. Je finissais cette séance de torture en remettant en ordre la salle de torture et en changeant mes affaires qui été taché de sang. Je n'avais plus qu'une hâte à présent :
Exécuter la prochaine cible.
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Troublé [recueil de one shot]
Short StoryCe recueil de one shot expose ce que les être humains ont de pire à nous montré. Les personnes qui prenne part aux histoires que vous allez lire ont tous un point commun : une vision troublée.