29_ Monstre

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Je suis dans ma cellule, blessée, brulée, baignent dans mon propre sang. Mon corps entier me faisais mal  et je ne voyais à présent flou. J'avais la lèvre fendu, un œil totalement gonflé et noire, des cloques partout sur la peau, des entaille à ma tête, aux chevilles. Et je ne pouvais que sentir l'odeur nauséabonde de mon sang qu'avais emplie mes narines. Recroquevillée sur moi, je n'arrive pas à fermer l'œil tellement j'ai mal, tellement j'ai peur. Je restait dans un coin, le souffle cours, n'osant pas m'endormir par peur de subir encore d'autre atrocité ou de mourir tout simplement dans mon sommeil. Je crois bien que je peut mourir à n'importe quelle instant. Cela fais, je crois que cela fais plus de trois jour que je n'ai pas dormit, que je n'ai pas eu de répits dans ma souffrance. Je mes sens si faible, si vulnérable. J'entend des pat arriver et mon souffle devient vite rapide. Les horreurs que l'on ma fais me reviennent en tête et je ne peut que trembler de peur.

Il ouvre la porte et je n'ose même pas bouger, peut être que si je ne bouge pas il ne me verra pas (je sais que ça n'arrivera pas). Il vient vers moi et me balance une sorte de chiffon à la figure.

Garde : Porte ça ! c'est le grand jour !*souri

Je laisse quelque larmes couler et regarde ce morceau de tissu dans ma main...alors c'était là ma fin... Je l'enfile toujours au sol et, une fois enfilée, le garde arriver à ma hauteur et me tirer par le bras

Garde : Allez lève toi !!!

Il me lâche et je retombe sur le sol je ne peut tout simplement plus marcher. Il soupire et reprend la parole

Garde : Tu l'aura voulu !

Il me tire par les cheveux et me tire comme ça jusqu'à l'ascenseur, je crie, j'hurle, mon corps râpant contre la surface rugueuse du sol. Et mes larmes coulent à  fléau, je ne veut pas mourir...pas comme ça... Pourquoi n'étaient t'ils pas la...pourquoi n'étaient t'ils pas venue me libérer ...Je croyais que je faisais partit de leur famille. Qu'ils tenaient à moi !

Mon cœur bat de plus en plus vite au fur et à mesure que je me rapproche de mon destin. Et j'arrive devant cette grande arène, la salle bruyante, les gens déchainés me rapprochant tout leurs malheurs. Je ne vivait plus, je ne pouvais rien faire d'autre que les regarder. Et une fois portée dans l'arène, tout le brouhaha, tout ses gens hurlant de rage se tèrent.. Ils ne me reconnaissent plus pour certain, sont choqué pour d'autre. Je ne ressemble plus à rien...je le sais...

Je me fais accrocher, encore sonnée, ma tête balance contre mon corps, je relève mes yeux vers ce qu'il me semble être des gens et les regarde juste. N'entendant qu'a moitié ce qu'il se disent.

Le roi : Je vous l'est tous dis, elle à payé pour ce quelle ai, elle a souffert...et maintenant ...elle doit mourir. La grande bataille peut commencer !

Toujours attachée au poteau dans ses chaines.Je vois 4 chevaliers elfe sortir de chaque coté, chacun fais 2 fois ma taille et sont vêtu d'une puissante armure et d'une épée aiguisée. Je les regardes tour à tour la peur m'étranglant la gorge. Je me résigne à faire la seule chose qui est en mon pouvoir, essayer de me lever, mais...je le sais très bien, la seule énergie qui me restait me servais à rester consciente, à rien d'autre.

Je ne pouvais tout simplement rien faire. Je regardais le ciel et commença à pleurer lamentablement. J'aurais voulu faire tant de chose, j'aurais voulu dire tant de chose. Mais il était trop tard...beaucoup trop tard. Et à mesure que les gardes se rapprochais, je ne pouvais penser qu'a eux, à eux qu'y m'ont aidés, défendu, épaulés....Je ne leur avais même pas dit merci...

Je ferme les yeux et accepta malheureusement mon sors, mes larmes toujours dévalent mes joues. Et j'attendais le coup fatale... mais rien, rien du tout. J'ouvris mes yeux difficilement et vit un visage prés de moi.

Bts-Entre Haine Et AmourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant