Chapitre 1

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Nous ne sommes plus qu'un petit groupe, je n'en connais pas les trois quart. Je connais une personne et elle m'insupporte, Rosalande. Je me suis toujours demander : « comment, a seulement 15 ans, on peut être aussi... insupportable ? » Ce n'est pas pour rien qu'elle est seul tout le temps, elle agace les gens.

-Aidan !

-Tu veux quoi Rosa ?

-Je t'ai déjà dit milles fois que je n'aime pas quand tu m'appelles comme ça !

-Okay..Rosa.

-Bon sinon je voulais savoir, c'est quand qu'on fait une pause ? J'en peux plus moi !

-Quand tu seras morte, aller retourne jouer avec les autres !

Et elle partit sans rien dire de plus. Je sais bien qu'il faut se reposer mais on est trop loin de notre but. Chaque jour on perd petit a petit les autres. Je ne pourrais pas tous les sauver, je le sais, mais je peux déjà me sauver moi. Mais je dois bien, avouer que moi aussi je commence à être épuiser. Je ne vois rien.. sauf de vieux bâtiments en ruine. Cette bombe nucléaire a détruit toute ma ville. Mais là n'est pas le pire. Le pire dans cette histoire c'est l'épidémie qui a décimé cette planète, elle touche tout le monde, les adultes, les enfants et les jeunes nourrissons. Nous ne savons pas d'où vient cette maladie mais nous avons qu'une fois infecté on a faim, pas de pain ou de fromage, non, d'humain. Dans ce nouveau monde nous les appelons :

-Infecté ! Cria cette charmante Rosalande en pointant du doigt un infecté.

-Mais ferme là ! Il ne nous a probablement pas vus !

Je me retourne et le vis s'approcher de nous, je remercier dieu pour avoir fait en sorte que les infecté marche très lentement. Je regarde autour de moi pour trouver quelque chose pour le tuer ou nous enfuir sans qu'il nous suive. Un bruit de fusil me sort de mes pensées. Je regarde au tour de moi et vis un fermier, un fusil a pompe a la mains.

-Non mais je n'y crois pas ! Lui dit-je d'un regard menaçant.

-Écoute gamin, tu dois avoir quoi..13 ans...

-J'en ai 15 ! j'étais obligé de le couper, il allait dire des choses fausse et je n'aime pas qu'on donne un apriori sur une personne.

-Quand bien même, j'ai 52 ans et ce n'est pas une enfant de 15 ans qui va m'apprendre la vie.

-Comment tu t'appelles ?

-Gilles.

-Très bien Gilles, je pense que tu oublies qui ta sauver la vie.

-Je peux me débrouiller sans toi, gamin.

-On va bien voir ça.

Il me regarde intriguer, je sors des menottes de mon sac. Je lui prends le poignet et l'accroche a la barre de métal la plus proche. Je le regarde et lui dit :

-Bonne chance Gilles.

-Reviens ici gamin ! il me supplie tellement de fois qu'il demande de l'aide aux autres.

-Aider le si vous voulez mais ne vous attendez pas à ce que je vous attends.

Je continue ma route et les autres commence à me suivre. Ils comprennent enfin qui dirige ici. Nous reprenons la route en laissant ce pauvre fermier, seul.

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 05, 2020 ⏰

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