[ En Correction ]
Résumé :
☙ | Ne pensez pas à lui parler car quand il ouvre la bouche il n'y a pas de retour possible.
Chaque mot est comme un pourcentage de votre mort en une seconde.
Son regard sombre vous fait douter si vous vouliez mourir ou co...
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. Bonne Lecture .
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• Tous les Monstres ne font pas des choses monstrueuses •
❅
Le même soir. Asile. Emir...
Du coté d'Emir.
Il ferme les yeux fatigué de ses insomnies, mais ne dorma pas pour autant comptant de 1 à 1000, il évitait.
Pour pas que ses cauchemars reviennent.
Mais ce calme fut de court duré.
Il réouvra les yeux en entendant la porte s'ouvrire.
Et c'est repartit. Pense-t-il en soufflant dans sa tête.
Le Directeur rentre dans sa cellule avec des gardes et le regarda.
Lui : t'as fait fuir ta psychiatre...
Emir fronce les sourcils et le regarda.
Emir : de quoi ?
Lui : elle viendra plus s'occuper de toi.
À cet instant.
Emir se sentit trahi, mais ne montra rien et hausses les épaules.
Emir : rien à foutre.
Le Directeur rigola en ouvrant la porte qui les séparés.
Le Directeur : sors le.
Emir : Qui ?
Le Directeur : Tu sais très bien qui.
Emir *riant* : je ne suis pas effrayé par tes petites lucioles mon chère.
Il montra les deux gardes en souriant.
Emir : Fait ce que tu veux, mais tu ne le verras qu'au moment venu.
Le Directeur : je n'sais même pas pourquoi je perd mon temps avec toi.
Emir *Rire* : je suis intéressant c'est tout.
Le Directeur fait signe aux deux gardes.
Lui : occupez vous de lui.
L'un deux s'était porté volontaire.
Mauvaise idée.
Il allait lui donner un coup, mais Emir se lève de son lit en bâillant d'ennuis et s'approcha du garde l'attrapant par son cou les yeux noirs.
Emir *Froidement*: ose juste levé la main sur moi et t'auras plus d'enfant.
Le Directeur : ah bah, voilà ce que je voulais voir.
Emir lâche la main tordue du garde et les regarda tous un par un.
Emir : 1... 2... 3... 4... 5...
Le Directeur satisfait d'avoir sorti un peu de sa colère fait un geste de la main de sortir.
Le Directeur : Emir... Emir... Emir... Vraiment dommage hein.
Il ferme la porte à clé et resta derrière la vitre en l'observant.
Pendant ce temps la colère d'Emir montait petit à petit.
Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas sorti toute cette haine.
Et avec lui comme directeur.
Ce n'était pas gagné.
Il regarda le vieil homme avec ses yeux noirs.
Emir : dégagez...
Le Directeur : tu ne regretteras jamais ton geste ?
Emir se tenait sur la table essayant de se calmer.
Putain Emir, calme toi... Laisse pas ce fils de pute avoir ce qu'il veut. Se disait-il dans sa tête.
Le Directeur : tu te souviens de la nuit où tu les as tué ?
Il leva les yeux vers lui... Un sourcil levé.
Emir : je me souviens très bien vu que j'ai eu le premier rôle.
Le Directeur : te souviens-tu des corps sans vies de ta famille ?
Emir souffla en fermant ses mains sur la chaise.
Mais néanmoin.
Son sourire ne quitta pas sa bouche.
Emir : ouais, ils vous ressemblaient.
Le Directeur fronça les sourcils en croisant les bras.
Lui : tu comptes me tuer ?
Emir : ah non, non, non... Je parlais de votre visage... Vous savez... Je comprend mieux pourquoi votre femme vous a laissé tomber.
Retournement de situation.
Emir adore ça.
Le Directeur : que veux-tu dire par là ?
Emir : je tient à vous dire que imaginez juste un peu qu'elle sache ce que vous faites ? Ou peut-être... Votre fille ?
Le Directeur : je n'ai pas peur de toi.
Emir : vous devriez pourtant.
Le Directeur : et pourquoi cela ?
Emir : parce que je suis partout... Même dans vos pires cauchemards.
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