Chapitre 21

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La poussière disparraissait et on pouvait y voir plus clair. Les loups qui avaient rôdé autour du campement s étaient enfuis en craignant de se faire tuer à leur tour. Par terre on apercevait un corp allongé mais assez bien pour savoir qui s était, à côté du corps on reconnu la forme d un loup qui se tenait debou. Peu après, la poussière disparue et tout le monde s effraya et recula de quelques pas. On reconnu l alpha se dirigeant vers eux, il poussa un hurlement, donnant signe de sa victoire et appelant sa meute pour se rejoindre à lui. Il était marqué de griffures sur son museau des morsures profondes d ou coulait du sang sur ses épaules, son cou et on reconnu qu on lui avait arraché un bout d oreille. Derrière lui ils apercevaient la louve saignée sans doute morte, qui avait essayé de les sauver. Tout joyeux il ne me prêta plus aucune attention, il était sûr de sa victoire, mais ce fit une grave erreur.

Je bondis sur lui et m attaquais directement à son coup, ou je plantais mes crocs et ne le lachait plus. Il était surpris et fou de rage d avoir fait une telle erreur. Il se débattait de toutes ses forces, s agitant de tous les côtés, roulant par terre, sautant dans tous les sens et essayant de me mordre, mais il dû reconnaitre que je ne lachais pas prise. Fatigué, il se laissa tomber par terre, il avait perdu beaucoup de sang, et donc au moment ou je m appraitais à lui faire subire le coup fatal, il me supplia:

-Je t en suppli, laisse moi vivre et je ne te dérangerais plus, toi et tes amis. J éspère que tu comprennes ce que c est de devoir nourrir toute une meute...

-Je t accorde de vivre, mais promets moi de ne plus attaquer des humains ou tu le regretteras!

Il hocha la tête et alors je m éloignais. Ca meute était arrivé et me grogna dessus, leur alpha leur ordonna de se taire. Il essaya de se lever et retomba sur ses pattes et essaya de nouveau et se dirigeait vers sa meute et ils s éloignérent dans l ombre de la forêt. Lorsqu ils étaient partis je me retournais vers mes camarades et ils me regardaient et ensuite commencèrent à applaudir. En me dirigeant vers eux, à bout de forces je tombais par terre et respirais à peine. Du sang coulait de partout. J avais pleins de griffures un peu partout sur le corps, des morsures sur les épaules, sur le dos, au coup au torax, ma fourrurensi belle, blanche avec des tâches grises et brunes était devenue un vrai cauchemar, du sang et de la terre partout et tout devint noir...

La destinée d'une LouveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant