Le groupe de policier s'engouffre derrière moi, arriver devant la porte, je demande aux videurs d'entrer et de pas quitté la porte des yeux, ils comprennent vite quand les agents font irruption dans la pièce. Tout le monde se retourne vers les agents. Bill entre et ordonne à tout le monde de rester à leurs places. Un des jeunes commence à devenir instable et paniquer, mais ne bouge pas.
- Messieurs veuillez vous levez et poser vos mains sur les tables, sans geste brusques. Tous obéissent.
- Allez, les gars fouille au corps pour tous ses jeunes gens.
Ils s'avancent et fouilles le groupe, des pilules, de la cock et de l'herbe sont trouver. Un des jeunes s'avance.
- Papa ? Tu ne devais pas être en service ce soir !
- Bon sang Christopher qu'est ce que tu fous ici ?
Bill me regarde perdu, sans comprendre. Puis je lui indique la gamine qui est assise près des sorteurs. Il vient vers moi et me demande s'il peut reprendre son gosse.
- Je suis désolé, Bill, mais c'est lui et deux de ses amis qui étaient occupées a toucher la gamine...
Il fusil son fils du regard.
- T'es un violeur toi maintenant ?
Le gamin écarquille les yeux.
- Bien sûr que NON !!
- Tu lui voulais quoi à cette pauvre fille ? Elle est quasiment nue ! Et ses collants sont déchirés. Tu me prends pour un con ?
- Chef, pas devant tout le monde. Lui dit Philipe.
-OK les mecs, on embarque tout le petit groupe et je veux que les parents de chacun soient appelés !- Pitié pas mon père... Lui dis une voix que je reconnais bien.
- Tiens, tiens. On se retrouve. Lui dis-je. C'est donc à ça que tu joues dans mon club ? À droguées tes copines pour tes potes ? Et bien toi tout particulièrement, tu rentreras plus jamais ici ni aucun de vous d'ailleurs. Je veux toutes les identités. Vous serez banni du club et de toutes les tavernes que possède mon père !
- Pitié, pitié n'appeler pas mon père, meugle la petite blonde.
- Bill vire moi ses parasites de mon club.
Je retourne vers la gamine qui commence à reprendre ses esprits.
- Tu sais me donner le numéro de tes parents ? Je vais les appeler qu'ils viennent te chercher.
- Oui, tenez mon téléphone, vous trouverez le numéro de ma mère.
Je compose le numéro.
- Allô CHARLOTTE ? T'es passée où ?
- Allô madame, je m'appelle Leila, je travaille au Babylone club. Votre fille est ici, serait-il possible de venir la chercher ?
- Évidemment ! J'arrive tout de suite.
Elle raccroche, je demande à Jack de l'aider à descendre la police et le groupe de jeunes les suivent et les autres clients quittent à leur tour la salle, je me laisse tombée dans l'un des divans.- Sacrée soirée. C'est souvent comme ça ? Me lance une voix moqueuse du fond de la pièce.
Je me redresse, surprise. Un homme d'une trentaine d'années, habillé d'un costar 3 pièces noires et d'une chemise blanche s'avance dans ma direction deux verres vides et une bouteille de champagne à la main.
- Vous l'avez dit ! Mais non heureusement, ce n'est pas toujours comme ça.
Il s'assoit à la lumière, il a le crâne rasé, une barbe de deux trois jours et des yeux marron. Il me tend un des verres, je remarque des tatouages sur ses mains. Je bois d'une traite le breuvage.
- Vous n'avez pas répondu à mon message tout à l'heure, c'est grossier. Ricane-t-il de sa voix rauque.
- Ah ah, c'était vous. Je suis désolé, mais vous êtes pas le premier à qui Camille donne mon numéro et sûrement pas le dernier. Dis-je gênée.
- À moins que vous soyez avec quelqu'un, elle arrêtera peut-être de le filer a tout bout de champs.
- Sinon vous venez souvent ici ?
- Ca doit être la deuxième fois.
- Deuxième fois et vous avez déjà demander mon numéro. Ca fait pervers ! Dis-je d'un air sérieux.
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Babylone Club
RomanceLeila travaille dur pour aider son père à gérer ses affaires depuis la mort de sa mère. Ancienne agente de police, elle gère le bar et la sécurité dans le Club le week-end et fait la serveuse la semaine. Les jours se ressemblent, seule depuis plus d...