Posé sur le mentau de neige blanc,
J'entendais le vent chanter jusqu'à moi,
Morphée m'attrappait alors lentement,
Même en juillet je ressentait le froid.Pas même cette corneille qui pleure,
Ni ce loup noir solitaire qui meurt,
Rien ne pouvait détourner mon regard
De ces lèvres roses qui rendent avare.À présent je lui appartenait,
Les notes volait comme des flocons,
Le chant de l'hiver m'envoutait,
Le temps me paraîssait si long.Sa voix si douce était ce que j'aimais :
Une voix d'ange qui me reposait.
Le sommeil avait ainsi eu sa proie, Dans mes rêves elle se trouvait dans mes bras.
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L'ange De L'hiver
PoetryRecueil de poèmes sur l'amour, La clé de lecture : L'hiver est illusoire