Chapitre 1

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Marchant dans les couloirs vides du lycée, Oliver, un garçon robuste et grand de taille, était en retard pour son cours de math. Il entra dans la salle de classe, donna son billet à son enseignant et partit s'assoir au fond de la classe calmement. Il reçut de drôles de regards de la part de ses camarades, mais il ne les calculait pas. Il était en terminale et était haït par la majorité des éléves de la même année que lui, le pensant minable et antipathique; ce qu'il n'était pas. Oliver est intelligent et gentil, mais aussi très réserver. Pensif, il ne s'était pas rendu compte que son professeur s'adressait à lui.

- Mcenfield ?... Mcenfield !, appelait il avec acharnement.

Cachant son embarras, l'élève, ayant compris la raison pour la quelle son professeur l'avait appeler, étudia l'équation écrite au tableau et répondit

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Son instituteur, insatisfait, lui chuchota...

- Viens me voir après ce cours.

... et se remit à expliquer la leçon, confirmant que la réponse de Mcenfied était correcte.
*Eclipse*

- Oliver... as-tu des problèmes ? Demanda le professeur.

- Non, monsieur John. Mentit l'élève.

Monsieur John ne semblait pas apprécier le mensonge de son élève préféré, mais fit semblant de le croire et répondit

- Très bien, si tu en as, sache que je serais là pour te conseiller. Tu peux partir.

Oliver sortit de la classe en hâte. Vu qu'il n'avait pas cours cette heure-ci, il se dirrigea vers la bibliothèque pour se changer les idées en lisant un roman policier.

Confortablement assis dans un fauteuil, un roman policier à la main droite, une tasse de thé vert à la main gauche; qu'il a commandé et a payé au bars de la bibliothèque. Le jeune Mcenfield ne pourait pas se sentir plus à laise qu'en ce moment.

- N y va pas ... ça ne sert à rien l'anglais de toute façon ! Se plaigna une voix masculine, murmurant pour que la bibliothèquère ne l'entend pas.

- Mais tu sais ce qu'il ce passera si je n y vais pas..., répondit une voix féminine, plutôt familière pour Oliver, au même ton.

- Bon d'accord... mais on se reverra après les cours ! Assura-t-il

Un silence confortable s'emparra de la pièce après que les deux tourtereaux aient quitter la salle, et Oliver reprit sa lecture paisiblement.

Ce fut l'heure du déjeuner, les éléves se dirrigérent tous à la cantine et le bruit était insupportable. Oliver rejoint ses amis du club de literature, son plateau remplit de tous ce que les cuisiniers du lycée considéraient comme comestible.

- Salut Oliver, comment c'est passer ta journée ? Acceuillît Alva, une belle jeune fille aux doux yeux bruns.

- Bien, comme tous les jours. Répondit il

Les autres membres du groupe parlaient et argumentaient entre eux

- N'importe quoi ! C'est David Copperfield le meilleur livre de Dickens ! Déclara Amelia; une petite brune au carractère turbulent et au vocabulaire grossier.

- Je t'ai dis que c'est Oliver Twist, repris calmement Nicola; un brun aux yeux noirs.

Les deux continuèrent leur argument, pendant que Oliver et Alva discutaient. Ce n'était un secret pour personne qu'Oliver était amoureux d'Alva, il écrivait des poemes incomptable d'elle. Peut être étais-ce ses magnifiques cheveux ondulés, blonds foncés. Sa peau blanche pâle, son regard chaleureux. Ou bien sa personnalité optimiste, fragile et calme qui l'attirait. Il ne savait pas, mais il était sur de ses sentiments envers elle et comptait bien les lui avouer un jour ou un autre.

*Eclipse*

Après une longue journée d'études. Oliver était devant la porte d'entrée de sa maison, cherchant ses clès; mais il ne les trouvait pas.

- Où sont elles ? Marmona-t-il a personne en particulier.

Soudain, il entendit des cris.
- Ne part pas ! S'il te plait, plaidait sa mère

- Lache moi ! Je n'ai plus rien a faire avec toi, cria son père

- Non..... NON ! les cris se firent de plus en plus proche, d'un geste brusque, son père ouvrit la porte et Oliver s'éloigna; par réflexe. Son père était habiller d'une magnière classe et professionnel; un costard et une cravate noire, ses vêtements de travail. Il tenait une grande valise, comme si il allait partir en voyage. Son expression était des plus effrayante, la fureur était tous ce qu'on pouvait y voire. Sa mère, parcontre, était vêtue d'une robe de chambre rouge. Ses cheveux étaient décoiffer, comme si elle venait de se réveiller et son visage montrait de la terreur, de la peine... et tous ce qui était synonyme à la tristesse. Malgrès la distance, le jeune Mcenfield remarqua une marque rouge dans sa joue gauche. Est-ce que papa l'a gifler ?  Se demanda il.

Son père, Mr.Mcenfield, entra dans sa voiture et parta sans aucune intention de retourner là où il se considérait comme 'chez lui'. Martha, la maman d'Oliver, tomba a genoux et éclata en sanglot. Quelques étrangers se sont arrêtés pour observer la scene, avec un regard de pitier. Oliver aida sa mère a se relever et a s'assoir au canaper du salon, les larmes coulant sans fin sur ses joues.

- Qu'est ce qui c'est passer ? Demanda-t-il

- Un homme... ton père... parti. Répondit elle, ses phrases étaient à chaque fois coupées par des hoquêtements.

Oliver abondonna l'idée de la faire parler, car à chaque fois qu'elle essaya de formuler une phrase, elle éclata en sanglot. Donc, il était monté à l'étage pour prendre un bain, faire ses devoirs et dormir. Ce fut une longue journée pour lui.

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