- A force de Mentir aux autres, tu finiras par te mentir a toi même, ta réalités fictives que tu fais bouffer a tout tes amis finiras par devenir ta propre réalités, alors commenceras ton voyages vers la folie, la paranoïa, personnes ne pourras t'aider, personnes ne Voudras t'aider, tu sera devenus quelqu'un d'autre, une personnes inhumaine, incapable de reconnaitre ta propre mère, des envies de meurtres te gagnerons jusqu'au moment ou tu sortiras de ton petit appartements, marcher dans la rue, appercevoir au loin une proie facile, jeune, seule, tu auras tout prévus, un bon coup pour l'assomer, tu la raméneras chez toi, tu la découperas en fine lamelle, conserveras son sang et ses boyaux pour te faire un magnifique pot au feu a la irlandaise comme t'as appris ta tante jeanne, et tu recommenceras, chaque nuit, jusqu'au moment ou une odeur de putréfaction aussi immonde qu'un cadavres remplis de vers et d'éxcréments laisser en pature aux corbeaux sur un piquet que tu aurais laisser dans la cour de ton immeuble, les gens se douterons que quelques choses ne tournes pas rond ta paranoïa ne fairas qu'augmenter avec le temps, tes volets, fermers, ta porte, fermer a clés, tu as manger la clés, tu l'as ensuite rejeter dans les côtes du'un de tes victimes pour que toi même a un moment ne te souviennes même plus où tu la mise, tu ne sors plus, tu ne parle plus, tu gémis et grognes, pataugeant dans tes propres déjéctions mélé au sang et au tripes de tes victimes éparpillés partout dans ton appartement, tu ne laisseras pas le temps au flics de te choper, tu veux en finir maintenant, tu ne peux plus vivre, tu ne vie même plus, ce n'est pas une vie, tu veux emporter tes démons avec toi dans l'autres monde, tu te dis que même l'enfer sera mieux qu'ici mais tu ne regrettes rien, jamais, tu prend ce couteaux, te l'enfonce dans le bras et fais ressortir ta plus grosse veine, purulante et pleine de sang, tu la tire tout le long de ton bras, déchirants ta peaux centimètre par centimètres, tu hurles de douleurs mais au bout d'un moment tu ne t'entends même plus ce ne sont plus des cris, ce n'est plus humains, t'ouvrant l'estomac a froid, peut être voulais tu retirer toute cette chaire humaine rongeant tes tripes, mais j ne pense pas non, tu n'as plus de conscience, plus de pensés, tu veux justes, Mourire.
- T'es putain de sérieux de me dire tout ça juste parce'que je t'ai dit que je n'avais pas les réponses du contrôle pour ne pas que tu me copie dessus alors qu'en fait je les avais ?