A la croisée des chemins
« LA PARISIENNE ». C'était le surnom que me donnait mes amis, et mes ennemis aussi. J'étais la citadine par excellence, aimant sortir, faire les boutiques, travaillant d'arrache-pied douze heures par jour, célibataire, pas d'hommes, pas d'enfants. La vie, telle que je la voulais, telle que je la désirais. Et ce surno...