Nous ne sommes jamais vraiment préparés à perdre quelqu'un. Ceux qui prétendent le contraire sont trop blessés pour dire la vérité. La mort a balayé mon existence aussi facilement qu'un château de cartes s'éffondre, éparpillant çà et là des morceaux de mon âme. J'avais peur comme une enfant serait terrifiée par le monstre caché sous son lit. J'avais mal comme si on m'avais poignardé. J'avais tellement pleuré que mes larmes auraient pu remplir un océan. Et puis, je l'ai rencontré...