Dans le creux de l'ombre où se perd le temps, Un poids lourd s'abat sans bruit ni grâce, Des éclats de tristesse, lourds et pesants, S'éparpillent en éclats de glace. Le cœur se serre, les larmes se cachent, Un chagrin profond, silencieux, S'immisce dans chaque souffle et chaque tâche, Faisant trembler les jours nuageux. Les cicatrices, marquées en secret, Portent les traces d'une pluie fine, Et chaque pas résonne comme un regret, Dans l'écho d'une peine clandestine. Pourtant, même dans cette nuit égarée, L'espoir persiste, éclaire l'horizon, Chaque lueur, chaque étoile étoilée, Offre un instant de réconfort et de saison.