Anol_Queen

Prends un temps pour souffler et demande toi si tu es heureux, je parle de la joie de ton âme. 
          	I just published " Le miroir  " of my story " L'écho de ton âme  ". https://www.wattpad.com/1539651846?utm_source=android&utm_medium=profile&utm_content=share_published&wp_page=create_on_publish&wp_uname=Anol_Queen

Anol_Queen

@ Danielle235tchad merciiiiiiiiiiiii  
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Anol_Queen

Prends un temps pour souffler et demande toi si tu es heureux, je parle de la joie de ton âme. 
          I just published " Le miroir  " of my story " L'écho de ton âme  ". https://www.wattpad.com/1539651846?utm_source=android&utm_medium=profile&utm_content=share_published&wp_page=create_on_publish&wp_uname=Anol_Queen

Anol_Queen

@ Danielle235tchad merciiiiiiiiiiiii  
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Anol_Queen

They once believed the Earth was flat,
          resting on the shoulders of distant mountains —
          but truth revealed a sphere, floating, bold.
          They thought the edge of the clouds housed God,
          a distant Creator cloaked in mystery.
          They feared Him, called Him a destroying giant,
          until they saw—He is near,
          gentle enough to hold hearts in His palm.
          
          The sea was seen as tender, calm —
          yet it drowns, it devours.
          The sun, adored for warmth and light,
          burns with fury, bites with fire,
          and shows no mercy to the unguarded.
          
          So is Greecy’s life painted.
          She was thought to be cradled by helping hands,
          dependent, fragile.
          But she walks alone —
          not shaped by voices that aren’t her own,
          yet bound to a force unseen,
          like gravity that keeps Earth dancing in the void.
          
          They called her cold, harsh, untouchable —
          yet her arms are open,
          her words soft,
          her soul, love,
          even for hearts carved from stone.
          
          They looked at her beauty, her gentle gaze,
          the silk of her skin,
          and said, “She is harmless.”
          But she wounds.
          She thinks she harms others,
          but slowly, she’s burning herself—
          tearing her light from within.
          By hurting what surrounds her,
          she bleeds her tenderness dry,
          silencing her own melody.
          
          They mistook her radiance for sweetness,
          her glow for grace —
          but she is a flame.
          Without protection, she scorches.
          Without understanding, she consumes.
          
          And Ariel saw.
          He saw how people draw conclusions
          before knowing the soul behind the stare.
          He learned:
          Silence the noise.
          Feel the music within.
          Let it echo through your bones.
          

Anol_Queen

Ainsi est l’illustration de la vie de Greecy.
          
          L’on croyait cette dame soutenue, maintenue par des mains extérieures,
          mais elle est en fait indépendante :
          indépendante des opinions qui ne sont pas siennes,
          mais complètement dépendante d’une force incompréhensible,
          comme l’est la suspension de la Terre dans l’espace.
          
          L’on la croyait terrifiante, insociable et méchante,
          et pourtant elle est accessible à tous,
          amicale, amour même avec ceux au cœur dur comme la pierre.
          
          L’on la prenait pour acquise.
          L’on la jugeait par son apparence,
          par son regard mignon, par sa tendresse dans la peau, dans la gestuelle,
          mais elle est en fait tueuse.
          Elle croit qu’elle détruit les autres,
          mais en vérité, elle détruit son extérieur autant que son intérieur.
          Elle pense blesser, mais elle s'effondre à chaque coup porté.
          Elle tue peu à peu cette tendresse en elle, cette émotion,
          cette sensibilité qui la rendait unique.
          Elle détruit sa propre personnalité.
          
          L’on a confondu son éclat, sa luminosité, sa beauté
          avec des caresses, de la légèreté,
          mais elle est brûlante, dévoreuse, destructrice
          — si l’on s’approche sans protection.
          
          Ariel comprit alors
          que l’on se fait toujours des impressions de toi
          sans même te connaître,
          et qu’elles sont, la plupart du temps, fausses.
          Il comprit qu’il valait mieux faire taire ces voix extérieures,
          et écouter, puis entendre cette mélodie intérieure
          qui résonne et fait vibrer chaque cellule de son corps.
          
          
          
          Texte écrit par Anol Queen
          Une plume née pour ressentir, pour dire, pour réveiller.

Anol_Queen

@ prince956  j'apprécie ton appréciation 
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prince956

@ Anol_Queen  très profond 
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Anol_Queen

          *Greecy, la vérité cachée* 
          
          L’on croyait que la Terre était plate et soutenue par des montagnes,
          mais elle est ronde, après vérification.
          L’on croyait que la première couche, la limite des nuages,
          était la demeure du Dieu créateur.
          L’on croyait aussi que Dieu était un géant destructeur,
          mais l’on découvre qu’il est un Dieu accessible à tous.
          L’on croyait que la mer était douce et tendre,
          mais elle est, en fin de compte, tueuse.
          L’on prenait le soleil pour un luminaire tendre et doux,
          mais il est plutôt dévorant, brûlant et agressif.