J'aime écrire. Décrire. La façon dont passe les heures, dont souffle le vent, mais aussi comment se sentir vivant. Des sentiments aux émotions, des rêves jusqu'à la raison.
Décrire des choses qui se décrive par sensation, avec des couleurs et des traits, quelque chose de très abstrait. Ce qui ne se décrit pas en somme.
Et de cette incapacité, découle une certaine frustration, de ne pas pouvoir faire ressentir la même chose, de la manière dont on le voudrait, avec la même intensité. C'est comme décrire une mélodie à un sourd : plus inutile qu'autre chose. 
Mes phrases sont pareilles. Vide de sens pour tous ceux qui ne me connaîtraient pas.  Mes idées partent juste dans tous les sens.
Les écrire ne m'aide cependant pas plus à les ordonnées, leur donner un sens. J'écris et c'est là tout ce qui compte. 
J'ai des histoires plein la tête, dans des mondes plus fous les uns que les autres, aux personnages hauts en couleur, ou plus sombre que les ténèbres. Tout est possible, même les choses les plus improbables.