« Et des fois, j'ouvre mes bras et j'attends que tu te rejoins à moi. Que tu me sers fort, et que je m'étouffe d'amour. Que je sens ta tête sur mon épaule et ta joue collée à la mienne. Que tu souris dans le creux de mon cou en répétant combien tu m'adores. Que mes pieds quittent le sol si terne, la Terre si rêche et que tu m'élève jusqu'aux cieux. Qu'a cette instant, mon coeur devient si léger que je deviens poussière et que dans tes bras je disparais.
Que comme Ariel, devenu écume, je sommeille au lever du Soleil »