Parce que oui, il est permis de pleurer même en pleine foule, même quand la musique bat son plein.
Parce que oui, il est permis de verser des larmes quand l’attention se fait rare quand l’absence pèse plus que les mots.
Parce que l’amour n’a jamais été une question de force et les émotions n’obéissent à aucune logique.
Parce que oui, il était ton monde et quand il est parti, tout a perdu ses couleurs, son goût, son sens.
En attendant le 1er Novembre pour la publication de mon histoire "Quand la mort prends la parole"