hurlant en silence son propre chante de misère
un monstre est prisonnier de son cauchemar
il est un tyran cherche un peu d’air
pourquoi l’a-t’elle laissé sans un regard ?
lui-même est condamné à chanter pour nous,
il ne peut pas nous voir, se moque du tout
en le voyant si faible, nous crions en chœur
allez debout monstre sans valeur !