CyberzazaGlow_

Des personnes partantes pour une session lecture ( mutuelle ) ?

So_Night_book_fr

@CyberzazaGlow_ Je veux bien personnellement ! Je vais lire les premiers chapitres ! Si ma romance t'intéresse je t'invite à faire de même !
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CyberzazaGlow_

@Italbania @So_Night_book_fr Hey, comment vous vous portez ? Top alors, je suis prête à échanger avec vous ! De mon côté c'est pour mon roman intitulé "The list" :)
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CyberzazaGlow_

Des personnes partantes pour une session lecture ( mutuelle ) ?

So_Night_book_fr

@CyberzazaGlow_ Je veux bien personnellement ! Je vais lire les premiers chapitres ! Si ma romance t'intéresse je t'invite à faire de même !
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CyberzazaGlow_

@Italbania @So_Night_book_fr Hey, comment vous vous portez ? Top alors, je suis prête à échanger avec vous ! De mon côté c'est pour mon roman intitulé "The list" :)
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CyberzazaGlow_

C’est la chaleur d’un pays où une confiserie fracassée d’un partage se loue d’une richesse bien plus abondante que celle d’un empire. Les rues diffusent de parfums épicés et de foulards colorés qui vêtissent de sourires se tamisent à la nuance de mille et un rires à l'état d’une ferveur tapissée d’un été lumière où les ballons vagabondent de gaieté. 
          
          C’est la douceur d’un pays soleil où la belle saison, canicule usuelle, se perd au détour de marchands aux âmes enfantines qui s’esclaffent d’une innocence juvénile.  Les murs jaunis, les quartiers décrépis là où seul prime l’altruisme à l’aisance de la charité, se tempèrent de marelles aux jeux traditionnels auquel l’aube de l'existence s'exalte de jovialité. 
          
          C’est la couleur d’un pays étoile, d’un astre solaire jamais vu, là où un plat déchiré aux fins de son prochain se perd de terre cuite à même le sol à la senteur d’une humanité reconnue.
          Les robes arc-en-ciel, les rires présidentiels et la compassion qui se mérite à la parole de jolies voyelles teignent l’azur à la peinture d’une générosité sans issue.
          
          C’est l’étoile d’un pays où la miséricorde ardente partitionne à base de gâteaux servis, d’un thé à l'essence même de la vie et de cuillères qui claquent avec énergie contre une vaisselle qui s’habille d’esquisse à l’aumône d’une bienfaisance infinie.
          
          Mon pays à moi où les animaux vagabondent à l’émoi de la fraternité, d’un mets fractionné et des tréfonds qui se sustentent non pas de pitances, mais de plaisanteries à cette différence qui dégringole pour une alliance à la camaraderie.
          
          Mon pays.

CyberzazaGlow_

TL a passé le cape des 900 vues, en route pour les 1K. Merci infiniment, vos retours, commentaires, votes me touchent beaucoup. Merci de contribuer à faire exister mes oeuvres et par dessus tout à me faire exister <3
          
          Je vous aime mes zarounettes.

CyberzazaGlow_

Je mange la nouvelle cover de Tayrona

amorilas

elle est INCROYABLE 
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CyberzazaGlow_

Pitié t'es adorable, merci beaucoup ! Au passage, j'attends toujours la suite de ton oeuvre :)
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Dhl_wtpd

@CyberzazaGlow_ je mange ta cover, ta plume, ta prota tout. Punaise ne t'arrêtes pas d'écrire ce banger please
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CyberzazaGlow_

Le tic tac incessant de la pendule rythme la pièce en de caverneuses pulsations jusqu'à faire résonance au sein de mes tempes. 
          
          
          Exquis de létalité.
          
          
          Je suffoque, mon cœur cesse de battre, ou presque, il ne me sustente plus de vie en s’égarant à la léthargie. La respiration se fait rude, la mort martelant mon corps d’une brûlure vive, calcinant l’entièreté de mes muscles. 
          
          
          Je m’asphyxie...les murs m’oppressent, ils se referment, m'enserrent, me détiennent captive d’une cloison lugubre. 
          
          
          Exaltante extase. 
          
          
          Je ne vois plus rien. T...rou...tout...noir.
          
          
          Opacité effroyable. 
          
          
          Du rouge...partout.
          
          
          Mes...mains...rouges...noires ?
          
          
          Mon corps vacille, chancelle, je dégringole sur le sol, douloureusement, cruellement affligeant. 
          
          
          Le carrelage est froid.
          
          
          Ou chaud ?
          
          
          Je n’inhale plus le moindre oxygène.
          
          
          Ma poitrine halète, se secoue de spasmes en manque de vitalité. Mes poumons me carbonisent. 
          
          
          Je...vois...absolument...rien.
          
          
          Horizon brumeux d’allégresse.
          
          Petit extrait ce de qui vous attend ;)

CyberzazaGlow_

Puis il y a ceux dont la peur fourmille dans les veines en un afflux bien plus sanglant encore que le carmin qui nous érigent d’humain en un détour à une chimère sauvage, qu’ils s’immobilisent face à la porte, qu’importe les sollicitations, sans jamais s’armer de courage afin de l’ouvrir et se redécouvrir. Les doigts étreignant la poignée d’une épouvante sans pareille, merveille d’un cœur effarouché qui articule de crainte face à ce battant si rigide et indifférent que même l’entrebâiller s’édifie d’une affliction si consternante que la main tremblante, ils se suspendent sur ce palier en une défaite affligeante.  
          
          L’effroi d’aller plus loin, sans rien à avoir chez ce « là-bas » en se soliloquant à base de « je ne suis qu’un moins que rien », vain combat qui ne se résume qu’aux affres de ne jamais se faire louer d’un « bravo, tu as gagné ». 
          
          Ils dégringolent de crainte, en une appréhension ivre de plaintes, celle de ne jamais réussir, cloison barbare d’un désunir au bout du sentier qui les rend élusifs de ce qu’ils pensent inaccessible : le progrès d’un acquis. Alors, ils s’éludent sur le palier en une esquisse contrefaite, se soustrayant à l’absence d’une fête en des prétextes dérisoires, par déboire, et se retournent à la maison de pusillanimité qu’ils ont eux-mêmes érigée. 
          
          Nombreuses sont les fois ou le risque de lutter ce fut alléchant, mais les bras ballants, le corps chancelant de cette frayeur, ils envoient valser les clés de cette maudite ouverture à l’envergure d’une effroyable ombre tapis dans la pénombre, un accès qui se voit rire du succès qu’ils convoitent sans jamais trouver le courage de combattre.
          
          Alors, ils rebroussent le chemin, tapant du poing par ce demain qui fonde le sursis de toute une vie, livide d’un “tu ne fais jamais rien de bien” sans que lors d’un matin qui se succède, ils ne trouvent l’hardiesse de se changer des caresses qui louent cette porte et par force, embrasser l'inexploré vers l’issue du succès.

CyberzazaGlow_

Elle s’était contenue de mille et une boites qu’elle avait empilées au fin fond d’un tiroir, décrépi, un peu usé, qui crissait chaque fois que ses peines, maintenues par son bois, le chargeaient de mille et un contenants, mélancoliques. Douce maussaderie cacophonique qui bruissait silencieusement entre la fondation de plastique qu’elle avait érigée superficiellement pour que jamais l’orage qui grondait à l’embrasure de ses lippes ne jaillisse de ses mots à ses maux qu’elle ne savait que maintenir enchaînés, au fin fond d’une boîte au couvercle éculé. 
          
          Alors, elle s’était écorchée de son tranchant qu’elle avait malencontreusement amoncelé au tréfonds de son âme, en une case opaque que nul ne daignera déceler parce qu’après tout sa foudre qui mugissait douloureusement ne méritait d’être étreinte par la douceur de bras qui se risquerait à dorloter affectueusement ses tourments affutés. Il lui arrivait parfois de dégringoler de haine sur le carrelage poisseux, à l’abri des regards et des doigts qui pourraient s’écorcher de carmin et d’affliction en épiant l’aiguisé qui la jonchait mais toujours avait fini par se ranger, au fin fond d’une contenance, tremblotante à chaque pas lorsque le verre menaçait de déborder.
          
          C'est mieux comme ça, qu'elle se répétait d'une mélodie macabre sur le macadam, esquintée de sa course à l'esquisse qui pourrait receler sa douleur en pleurant, les méandres de son cœur disloqué d'hostilité qui mugissait d'une résonance à en faire trembler les fondations qu'elle avait édifiées. Architecte de peines ou de faux semblants, valse contre ses sentiments, elle paradait d'un soleil artificiel en ayant barricadé ses nuages au tréfonds des ténèbres.

Nobless_

A deux doigts de dire que Molière ne manie pas aussi bien la langue que toi. C’est de l’art à ce stade. 
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CyberzazaGlow_

Mais par les temps qui courent, les déluges inondent, les vases se fissurent et la foudre échauffée d'une contenance vacillante, avait fini par beugler si fort, que son bruissement assourdissait les tympans étreints de vanité pour prêter déférence lorsque sa cascade de mélancolie s'était abattue sur ses paupières, chancelante de cette fougue, en essayant de s'empiler, conforme à un antan, sans que l'amoncellement de méandres apeurés ne puisse se classifier au sein d'une boîte qui s'était finalement brisée.
            
            Oh et souvenez vous de ce tiroir, calciné par l'impétuosité de l'orage.
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CyberzazaGlow_

Un petit quelque chose qui se prépare sous l'ombre du secret ;)...Je tiens à dire que je vais bien et que le changement commence à se faire sentir, les réseaux sont d'une calamité monstrueuse mon dieux...
          
          On se revoit prochainement ? A bientôt !
          
          Je vous aimes <3

Nobless_

On attend avec impatience girl !!
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