Cynorab

Je vais bientôt proposer à ma maison d'édition la première partie de mon tome 2. Je vais le relire une nouvelle fois, numéroté mes chapitres et je vais me lancer. ;)
          Il devrait techniquement se nommer : '' Martelin, Tome 2: L'héritier du miroir. Partie 1: La patience et la roublardise d'un jeu d'échec.''
          
          Jusqu'ici, ma lectrice me confirme que c'est encore plus bon que le premier tome. Ce qui augure bien! :D
          
          J'ai déjà un bon 125 pages d'écrit pour la deuxième partie : '' Labyrinthe''. Je me suis enfin sortie d'un scène où j'étais bloqué pendant presque une année, mais il faut dire que mon nouvel emploi en laboratoire me gobait beaucoup d'énergie. Maintenant que ma position est sécurisé, j'ai négocier plus de temps libre, me permettant de me consacrer plus souvent à l'écriture de mes histoires. ;)

Pour ceux que ça pourrait intéresser, j'ai réussi à publier cette année mon premier livre! :D
          
          C'est un livre fantastique jeunesse, avec des elfes, des fées, des magiciens, des dragons et ainsi de suite. Des thèmes classiques en soit! 
          
          Le titre est : Martelin tome 1, Le petit prince de la forêt
          
          Vous pouvez l'obtenir la version numérique et la version papier : 
          http://www.societedesecrivains.com/librairie/livre.php?isbn=9782342033809
          et la version est également disponible sur Amazon.fr (France) et chez Archambault (au Québec). 
          
          Bien que le personnage principal est un garçon d'environ 10 ans, je crois que les adolescents peuvent l'apprécier et suivre ses péripéties. 
          J'utilise un vocabulaire assez riche et ceux qui l'ont lut veulent la suite.
          
          Certes, ses 442 pages peuvent faire peur, mais les chapitres sont très courts et se lisent très bien. Une jeune fille de 11 ans l'a lut en moins d'une semaine et elle a adoré!
          D'autant plus, moi aussi, quand j'étais adolescente, les grosses briques de lectures me rebutait. Du moins, jusqu'au jour où mon père m'a dégoté un volume de plus de 500 pages remplit d'anecdotes sur les faits étranges qui me passionnait à l'époque. J'ai littéralement dévorer ce gros bouquin et ressenti une déception à la dernière page et un sentiment puissant de : '' J'en veux plus!!!'' 
          Jusqu'ici, avec mon livre, je crois avoir réussi. Des lecteurs m'ont dit qu'ils en voulaient plus. Qu'ils voulaient la suite :)
          J'ai déjà plus de 600 pages d'écrit sur le second volume. Il me suffit d'amasser les fonds nécessaires pour l'éditer quand j'en serai au troisième tome. ;)

Je vois qu'un certain nombre me suit.
          Je pourrais encore ajouter des textes sur le Kyudaimé Hokage, même si je les ait écrit il y a plus de cinq.

Salut !
          J'ai un peu regardé tes oeuvres ... par où cela commence ^^" ?
          Je suis vraiment désolé pour cette question débile mais ... par où ? Et toutes ces oeuvres, ce sont des chapitres de la même histoire ?
          Je te remercie d'avence.

Il est amusant que j'ai mis jusqu'ici que des textes se rapportant à la première vie de mon personnage de Kyudaimé Hokage, alors que l'inspiration d'origine se rapportait sur un évènement lui arrivant et ce qui lui advint ensuite. En somme, je lui ai bâti toute une vie, bien remplit, pour sentir la mélancolie que résulte le drame qui a chaviré le reste de son existence.
          
          Jusqu'à maintenant et en plus d'un an d'existence de ce personnage, j'ai écrit plus de 450 pages de cette première vie, contre 200 sur le post-évènement. 
          
          Ce n'est pas parce que je manque d'imagination sur cet avenir, mais c'est simplement dû à la structure des textes. Le post-évènement est un texte en continu, me bloquant à avancer, tandis que le pré-évènement sont des scènettes aléatoires, écrites sous le coup de l'inspiration...
          
          s'il vient le jour où je mettrai le post-évènement ici, vous remarquerez que les premières pages sont très résumés (création du personnage), mais il reste rassurant que j'ai réussi à respecter la personnalité de mon Kyudaimé après tout ce temps.

Au Japon, les chiffres 3, 5 et 7 portent chance, alors que le 4 et le 9 sont à éviter.
          
          Le quatre, car si on le disait Shi et non Yon, on se rapprochait phonétiquement du mot Mort, alors que le neuf, en terme de Ku et non de Kyu, s’approchait du mot souffrir.
          
          D'où la subtilité du rapport entre mon personnage de Petit Renard et le chiffre neuf... Neuvième membre de sa famille avant que la guerre ne le lui fauche et son aspiration à devenir le neuvième Hokage.