Ma plus tendre enfance à été bercée par la lecture. Fille unique, fille modèle qui ne demandait jamais rien, fille trop sage, j'étais terrorisée de demander à ma maman, pourtant aimante et adorable de m'offrir des choses. Car à part des livres, je ne demandais jamais rien. Alors, je lui ai écris une lettre. J'ai commencé à aimer écrire. Plus tard, à l'adolescence, jai commencé comme tout le monde : la dépression m'a poussée à couvrir des pages et des pages de mes états d'âmes et de ma tristesse incompréhensible. Puis, alors que je commençais une licence de lettres modernes, Salem et Mercy ont surgit dans ma vie. Je voulais écrire, par dessus tout. Mes études supérieures ont été bercees par la littérature, les Masterclass, les ateliers d'écriture, les analyses de texte, la linguistique. J'ai rencontré de super écrivains, et surtout, j'ai lu. Beaucoup lu. Pendant 4 ans, Salem n'a avancé qu'à tout petits pas. Perfectionniste dans l'âme, j'étais terrifiée de continuer cette histoire qui me paraît infinie, inaccessible. Mais je l'aime de tout mon être et mes sorcières me guident. Aujourd'hui, Salem comporte prêt d'une vingtaine de chapitre, plus de 70k mots et presque 300 pages, annexe compris. L'histoire de Salem et de ses sorcières se concrétise : ayant dépassé la moitié de l'histoire, les évènements se précipitent. Des meurtres, du sang, des yeux arraches, des têtes coupés. Soyez prêts à affronter la fureur de Mercy. ❤️