Au bout d'un moment, à force d'imaginer, de penser, de rechercher, d'améliorer tous ce qui nous passe par l'esprit,de s'y accrocher en se promettant intérieurement que l'on s'en souviendra... On l'oublie, après s'être arrêtée d'y penser pendant un certain temps, on s'en veux et l'on cherche à tous prix à se souvenir de chaque détails et sachant au fond qu'ils n'étaient que passagers et que l'on ne les retrouvera pas. Passagers peut être mais uniques en tous cas. Plutôt que de les laisser partir sans avoir tenté de les retenir, plutôt que de savoir qu'ils s'éloignent petit à petit sans leurs accorder l'importance sous laquelle ils devraient succomber, autant les écrire. La peur de figer une idée qui jusque maintenant nous pouvions modeler à notre guise, notre humeur, nos sentiments , on la "scelle" vous qui la lisez, vous êtes même sans se connaître un confident, l'on vous livre quelque chose qui est le fruit de nos pensées les plus profondes, quelque chose qui nous a accaparer du temps, le bourreau de notre imagination, un pile ou face dont seul vous avez le contrôle de la pièce. L'adrénaline qui nous parcours une fois que nos lignes vous sont livrés sont pourtant une des chose les plus exaltantes qui sois.
- JoinedFebruary 15, 2016
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