ImAFuckingLoserr
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Dans la pénombre de la nuit
Je forge ta main dans la mienne
Établi dans le coin du lit
Tes caresses envoûtent les peines
Qui ont causé tant de plis
Et m'ont infléchies ce poème.
Dans la fraîcheur des draps blancs
Un souffle frôle la douleur;
Un tendre verre, cabernet franc
A abstraitement renversé les fleurs
Séchant, pendues à la voûte
Dans l'ironie d'un sombre cœur
Un pétale comme une goutte
Muse sous les battements du voleur.
Au petit matin les gens pressés
S'entassent au pied de l'immeuble
Je ne décrirai le trouble laissé
Dans le profond de l'âme
Lorsque, sous la fraîcheur hivernale
Tu as osé déserté
Et lors des foules et des beaux drames
Je ne cesse de scruter
Pour tes yeux cristallins
Dans l'attente de les recouvrer.
- aux factures d'électricité excessives
ImAFuckingLoserr
Dans la pénombre de la nuit
Je forge ta main dans la mienne
Établi dans le coin du lit
Tes caresses envoûtent les peines
Qui ont causé tant de plis
Et m'ont infléchies ce poème.
Dans la fraîcheur des draps blancs
Un souffle frôle la douleur;
Un tendre verre, cabernet franc
A abstraitement renversé les fleurs
Séchant, pendues à la voûte
Dans l'ironie d'un sombre cœur
Un pétale comme une goutte
Muse sous les battements du voleur.
Au petit matin les gens pressés
S'entassent au pied de l'immeuble
Je ne décrirai le trouble laissé
Dans le profond de l'âme
Lorsque, sous la fraîcheur hivernale
Tu as osé déserté
Et lors des foules et des beaux drames
Je ne cesse de scruter
Pour tes yeux cristallins
Dans l'attente de les recouvrer.
- aux factures d'électricité excessives
ImAFuckingLoserr
Je me suis demandé ce que tu faisais.
Assise au coin du canapé,
Entre les lèvres une cigarette coincée,
Les yeux à demi fermés ;
Je me suis demandé
Si tu savais
À quel point je t'aimais
Car je sais ne pas te l'avoir avoué
Ou du moins clairement hurlé
Face à toi lorsque mes iris scintillaient.
Les étincelles ont coulé,
Lentement, dans le brun du café
Les morceaux de la tasse cassée
Témoignent des émois que le temps a laissé
Sur mon cœur une écorche grisée
Encore peu cicatrisée.
Je ne songe plus trop à toi.
J'ai arrêté de me demander
À toute heure de la journée
Ce à quoi tu pensais.
Mais lors de mes insomnies
J'ose imaginer une nuit
Avec toi, peut-être même toute une vie,
Qui aurait sûrement mal fini
Car je ne sais conserver
Les émois qui me font chavirer
À l'égard de ce bel éclopé;
C'est pourtant toi qui m'a fui.
Encore aujourd'hui
Je me demande où tu es
Je me demande comment tu ris
Je me demande si tu as oublié
Ce sentiment qui,
Malgré le nombre d'heures écoulées,
Perdure dans mon esprit.
Je t'attends
En face des arbres
Sur ce banc
Les feuilles que je regarde
Dansent au vent.
Ce souvenir, comme une écharde
Me ronge encore maintenant;
Mes lettres bavardes
Comme preuve d'un amour fuyant.
- à mon incendie
emie_m_d_
" MCTokyo12" souvenirs babe :')
ImAFuckingLoserr
Tu as pris sa main et tu as esquissé un beau sourire.
Je t'ai regardé et je n'ai pu m'empêcher de rire,
Avec de l'amertume au fond de la gorge
Et un peu de tristesse comme seule dans la loge
Je t'ai regardé et me suis sentie faible
Presque étourdie par tes beaux yeux
La neige crisse sous mes pieds comme le seigle
Un vague soulagement de te voir heureux.
Je rentre chez moi, pressant le pas
Je veux m'enfouir sous mes draps
Dormir sans rêver de toi
Et oublier que tu n'es plus là.
- au léger flocon
Avec toute mon affection
-M
ImAFuckingLoserr
Ça m'arrive de sourire
Ça m'arrive de pleurer
Ça m'arrive d'être amoureuse
Et ça m'arrive de me lasser
Ça m'arrive de l'aimer un jour,
Et le lendemain de l'oublier.
Ça m'arrive de mentir
Pour éviter de penser,
Ça m'arrive de réfléchir
Et d'enfouir la vérité.
Et parfois il fait nuit tout le temps
Partout
Où l'ombre a fait fuir le bonheur
Où l'angoisse a dévoré le cœur.
Me verras-tu dans les vagues qui s'écrasent contre les rochers
Dans les feuilles que le vent fait bruisser.
Sens moi dans l'odeur de la fumée
De cette cigarette trop rapidement consumée
Et du gâchis des 27 paquets
Que tu m'as fait brûler.
- à la mort prématurée
ImAFuckingLoserr
Cette appli ne me sert à rien, à part enfouir des vieux souvenirs et un deuil inachevé.
Ça me tue de ne pas savoir ce qu'il s'est réellement passé en 2020 sur cette plateforme, ça me hante et je ne sais plus comment avancer.
Si quelqu'un a des réponses sur Lee, Alex et Emma, donnez les moi
(Pour au moins soulager mes nuits)
Merci d'avance
- M
ImAFuckingLoserr
Comment définir ce mal qui ronge le corps, l'addiction. Les cellules du corps tout entier réclament la molécule et il ne tient qu'à un fil de briser cette promesse.
En restant les yeux fixés au plafond, chaque douleur au torse prouve de l'incapacité à être heureux et à rester, chaque respiration saccadée montre le mal à respirer sans cachets; dans d'innombrables fins le désir de tout arrêter reste le plus sain, sans violence ou sans aucun instinct, seulement un bribe d'une nuit ou d'un matin-
Yeux mouillés, les larmes ne coulent plus
Dans un tonnerre de paroles attendues
Cœur en détresse laisse la clé de fa
Avant d'étaler son corps au sol
Étouffée par un mi bémol
Note qui résonne à chaque pas.
Me sentiras-tu dans les feuilles bruissantes
Dans les vagues bruyantes
Dans chaque élément du monde que je fuis
Prise au piège par mes faux amis
Cachet pour stopper le temps qui passe
Cigarette du seigneur, du roi,
Cachet pour fermer les yeux
Et ne plus penser à toi.
- à mon alprazolam
ImAFuckingLoserr
Il y a des nuits où je songe, je réfléchis, tout se bouscule, la douleur fulgure chaque passerelle de mon corps, les fourmis de désirent grouillent dans mes veines quand je pense à lui et à sa main sur ma peau, à mes frissons sous le tissu, à sa douceur sur mon corps écorché.
Chaque nuit je pense à tout ça et j'ai mal, rien ne va et tout s'empire.
Des mois maintenant que je piétine dans un sable mouvant ; je n'avance plus, je contemple les fleurs qui éclosent et les cœurs qui se meurent.
Des mois que je ne te vois plus, je ne regarde pas ses dents lorsque elle me fait de grands sourires, je ne demande plus qu'il m'appelle le soir pour me rassurer, je ne sors plus par peur de devoir tout affronter.
Je me meurs et attend la fin,
La fin de moi et,
Par conséquent
La fin de tout.
Avec toute mon affection,
-M.
ImAFuckingLoserr
Ton regard sonne comme une cacophonie dans mon crâne;
Sourd fracas des songes qui planent.
Bras de mers déchaînés
Dans l'océan, une infinité
Y trouver un semblant de paix.
S'écorcher les joues à gros sanglots
Douceur du craquement de mon cœur
L'écho de tes mains sur ma peau
Tiens-toi à l'écart de mes pleurs
Et ignore mes pensées noires, mes maux.
Ne jamais être entendu,
S'isoler, moeurs perdus,
À mes ecchymoses sucrées
Des émois d'été.
" Tes lèvres avaient un goût,
J'étais fou de toi, ****"
- à ma canicule