Ces derniers jours, j’ai reçu des messages. Certains voilés, d’autres directs. Des accusations, des moqueries, des insinuations selon lesquelles j’aurais "plagié", que ma chronique ne m’appartiendrait pas vraiment. Qu’elle aurait été "volée", "inspirée", "reprise".
Alors je vais poser les choses une bonne fois pour toutes.
Je n’ai pas inventé cette chronique. Elle m’a trouvée.
Les mots se sont imposés à moi. L’histoire s’est écrite d’elle-même. Comme si elle m’attendait, comme si c’était mon devoir de la raconter. Je ne l’ai pas cherchée, mais nan, c’est elle qui est venue. Par le destin, par l’instinct, par cette chose en moi que personne ne peut imiter.
J’ai mis de moi dans chaque phrase. Mes douleurs, mes silences, mes hésitations, mes obsessions. Ce n’est pas une chronique née d’un copier-coller. C’est une chronique née de mon vécu, de mes intuitions, de mon regard sur ce monde qu’on tente de déformer.
Alors quand certaines se permettent de m’envoyer des messages haineux, de m’insulter, ou de remettre en doute ce que j’ai créé, je me dis juste une chose :
La méchanceté, c’est souvent la première langue de celles qui n’ont pas su parler autrement.
Je ne suis pas là pour faire la guerre. Je suis là pour écrire. Pour marquer. Pour transmettre. Et s’il y a bien une chose que je ne ferai jamais, c’est m’abaisser à leur niveau.
Vous vous reconnaîtrez, et franchement ? Ce que vous faites est triste. Parce que le talent, il ne s’efface pas par la haine. Et le destin, il ne se dérobe pas sous les mensonges.
Vous pouvez parler.
Mais pendant que vous parlez, moi j’avance.
Et ma plume, elle, ne tremble pas.
— Signé par celle que vous essayez d’atteindre, sans jamais vraiment pouvoir l’égaler.