Khalil

Pas grand monde pour prendre soin de moi, alors je le fais moi même
          Pas toujours très bien, pas toujours très sain 
          Le regard d'un mec fatigué, le regard d'un mec dépassé
          Je veux rester dans la course, mais vite essoufflé
          Pas de trophée, pas souvent catastrophé
          Oui on s'habitue à la lassitude, aux drames
          On va pas pleurer à chaque fois 
          Non on laisse venir, et on supporte
          C'est le destin, c'est ce que je suppose
          Un jour ça sera sans doute mieux... ou pas 
          Mais bon, la réponse m'intéresse pas vraiment
          J'ai été déçu, tellement
          Pas de voeux, ni de bonnes résolutions
          Un problème, mais pas de solution
          De toute manière j'ai toujours été nul pour résoudre les énigmes
          On trouvera bien la clef à la fin 
          En attendant, je tue le temps
          Et je me tue à petit feu 
          J'aurais pu écrire un texte joyeux
          Mais je parle seulement de ce que je connais
          Oui j'ai pas envie de mentir...
          Le cerveau un peu en vrac, comme une chambre d'ado 
          Beaucoup de projets, mais peu de motivation
          Alors je stagne, comme un cadavre au fond de l'eau... C'est métaphorique
          Le malheur comme un cancer, et ses métastases
          Un mec gentil, la main sur le coeur
          Mais que la vie à rendu instable 

J'ai arrêter d'écrire mon histoire amour a distance et l'effacer pour démarrer une nouvelle histoire j'espère que j'aurais votre attention et sa vous plaira j'aurais besoin d'aide pour ma couverture 

Tous mes souvenirs d'enfance sont bien puérils, comme l'on voit, mais si chacun de mes lecteurs fait un retour sur lui-même en me lisant, s'il se retrace avec plaisir les premières émotions de sa vie, s'il se sent redevenir enfant pendant une heure, ni lui ni moi n'aurons perdu notre temps ; car l'enfance est bonne, candide, et les meilleurs êtres sont ceux qui gardent le plus ou qui perdent le moins de cette candeur et de cette sensibilité primitive....

Je n’ai jamais réussi à faire semblant.
          Moi je n’ai pas ce “sang blanc” insipide et fade.
          Moi, mon sang est rouge.
          Rouge comme le feu ardent de la passion, de l’amour qui coule dans mes veines.
          Rouge comme un soleil couchant chaleureux et attendrissant à la fois.
          Rouge comme la lave d’un volcan bouillonnant au cœur de mon caractère entier, impulsif, hypersensible, curieux, généreux, plein de bonté.
          Mon sang est sang, sang pour sang 

La vraie proximité ne se mesure ni aux kilomètres ni aux conversations répétées…
          C’est cette connexion invisible qui lie deux âmes au-delà des apparences.
          C’est sentir la présence de quelqu’un même dans son absence, comme si une partie de lui vivait en toi, discrète mais essentielle.
          Être proche, ce n’est pas envahir l’espace de l’autre, c’est comprendre ses silences sans avoir besoin d’explications, c’est savoir qu’il est là, quelque part, et que cette simple existence apaise ton cœur.
          C’est trouver en quelqu’un un écho de soi, sans perdre son identité, un regard qui te comprend sans te juger,
          une présence qui t’élève sans te transformer.
          La vraie proximité ne s’efface pas avec la distance, parce qu’elle habite en toi comme une évidence, un lien silencieux mais indestructible, ancré au plus profond de ton âme...

On dit souvent que les yeux sont les fenêtres de l'âme. Les gens se caressent, se touchent, mais il faut beaucoup de confiance pour que quelqu'un vous laisse l'observer droit dans les yeux aussi longtemps que vous en avez envie. 
          A ce moment-là, vous n'entendez pas seulement ce qu'il veut bien vous dire, vous voyez CE QU'IL EST VRAIMENT...

Mais qui se soucie de ce que je ressens au plus profond de mon cœur?;
          Qui se soucie de ce qui se cache derrière mes lueurs?;
          Qui se demande ce que signifie chacun de mes sourires?;
          Qui s'intéresse vraiment à ce que je peux au quotidien subir?...
          Qui essaie de me connaître entièrement et sincèrement?;
          Qui essaie de m'approvoiser et rassurer mes sentiments?;
          Il est plus difficile de sourire aux gens;
          Quand soit-même on souffre intérieurement...

La solitude n'est pas seulement l'absence des gens. 
          C'est l'absence de but, l'absence de sens. 
          Quand vous vous retrouvez dans un monde où tout semble extraterrestre et distant, où chaque connexion est superficielle et où chaque tentative de compréhension est rencontrée avec indifférence, vous réalisez que la vraie solitude n'est pas d'être seul, mais de se sentir seul dans un monde qui n'a plus de sens...

Merci pour ton abonnement ! 
          J’espère que l’histoire te plait 

On me prend régulièrement à parti sur les Chroniques 
          Des gens à la vie médiocre, qui pensent être dans leur bon droit 
          Des faibles, en réalité, des mauvaises langues et des mauvais baiseurs 
          J'évite de répondre pour ne pas alimenter la peste et le venin 
          Sauf que s'en prendre à certains de mes abonnés, c'est être plus bas que terre 
          Venez donc me trouver en mp, à défaut de me trouver tout court 
          Je continuerai à publier, vaille que vaille, sans pour autant ignorer ces bâtards, ces chiens d'la casse 
          Méfiez-vous de ce genre de profil 
          En réalité, on se cache derrière un pseudonyme 
           sauf que derrière, vous tombez sur des psychopathes, des instables et de véritables pervers en puissance 
          Je pense n'avoir rien à me reprocher 
          Liberté de parole totale sur cette page à la con 
          Pour ceux que ça a mis mal à l'aise, je m'en excuse mais je n'ai pas les compétences psychiatriques requises pour gérer toute cette haine 
          Personne ici ne me connaît 
          Ne vous fiez pas à mes écrits pour vous dire que je suis comme dans mes publications 
          Vous risqueriez de tomber de haut 
          Et n'oubliez pas que qui veut la paix... prépare la guerre 
          Maintenant, je bloque direct, chose que je ne faisais pas auparavant 
          Disons que argumenter avec des cons, c'est un peu comme aller chier sans pq 
          (Putain, dire que je viens d'écrire ça )
          Bon week-end et merci à ceux qui réagissent aux textes