Dance 'til you're dead.
Mon cœur est épris, je me souviens de cet écrit.
Plus que les autres. Tel un fol amour.
Tes mots, la signature de tes récits… Quel charme bouleversant. Le cœur vacille, tout nous pousse vers une curiosité qui devient presque maladive.
Les rebondissements, les idées, le rêve, l’imaginaire…
Danser à en crever, mourir de passion, tandis que le feu nous consume. Le sang pulse, sans que le cœur ne suive. L’esprit, lui, refuse de quitter l’euphorie.
L’idée de vivre.
L’envie de découvrir.
Un charme.
La beauté de tes récits.
J’avais lu plusieurs de tes histoires autrefois, mais ce one-shot s’est ancré dans ma mémoire.
Fou d’une mélodie qui me pousse à écrire, qui plaide la folie euphorique. L’homme peut être pardonné pour son absurdité, mais non pour sa négligence.
On rêve, on vit. L’aventure est partout.
Tu fais vibrer les âmes plus encore que les corps dans tes idées.
Le temps n’est pas mesurable.
L’esprit ne doit pas être brouillé par ce fichu concept.
Vas-y à ton rythme.
Prends le temps de vivre, de ressentir, de faire ce que tu veux.
Tu es maître. Maître du jeu. Roi ou reine des univers que tu partages avec nous.
Ne baisse pas les bras. Tu réchauffes les cœurs, tu inspires les esprits. Ne te blâme pas.
Prends soin de toi. Meilleurs vœux.
