MSushiC007

La suite 
          	
          	Après avoir transféré tous les barils et le tabac à bord du Nuage Noir, ils se préparèrent à déguerpir quand, soudain, le vent se leva avec une telle force qu'il faillit arracher la grande voile du bateau. Les vagues saccagèrent les malheureux. Un énorme typhon se forma, laissant derrière lui un trou abyssal. Les courants étaient en défaveur du capitaine. Tout semblait perdu : le navire allait se faire aspirer par le tourbillon lorsque Martin se mit soudain à crier.
          	
          	— UN KRAKEN !!!
          	
          	La créature surgit des profondeurs, déployant d'énormes tentacules qui s'enroulèrent autour de la caravelle. Contre toute attente, elle transporta les marins en lieu sûr, où l'horizon était dégagé.
          	
          	Le capitaine Roland n'était pas un adepte des mythes et légendes des océans, mais après ce jour, il ne put que remercier sa belle déesse des mers.

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La suite 
          
          Après avoir transféré tous les barils et le tabac à bord du Nuage Noir, ils se préparèrent à déguerpir quand, soudain, le vent se leva avec une telle force qu'il faillit arracher la grande voile du bateau. Les vagues saccagèrent les malheureux. Un énorme typhon se forma, laissant derrière lui un trou abyssal. Les courants étaient en défaveur du capitaine. Tout semblait perdu : le navire allait se faire aspirer par le tourbillon lorsque Martin se mit soudain à crier.
          
          — UN KRAKEN !!!
          
          La créature surgit des profondeurs, déployant d'énormes tentacules qui s'enroulèrent autour de la caravelle. Contre toute attente, elle transporta les marins en lieu sûr, où l'horizon était dégagé.
          
          Le capitaine Roland n'était pas un adepte des mythes et légendes des océans, mais après ce jour, il ne put que remercier sa belle déesse des mers.

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En attendant la publication d' histoire beaucoup plus longue, je vous laisse avec ce petit texte, j'espère vous plaira. 
          
          "Le Nuage Noir" était amarré non loin du port de Santa Lova. L'équipage du capitaine Roland le Chauve s'y était arrêté pour profiter d'un peu de bon temps après leur dernière prise. Ce soir-là, ils buvaient comme des trous, et les filles de joie de la maison des Écailles Roses étaient présentes. De belles femmes aux formes généreuses, à l'allure de sirènes, qui, tout comme les vraies, coûteraient cher à la trésorerie du navire. 
          
          Mais ce soir, c'était celui des réjouissances. Après ce qu'ils avaient vu et vécu, la moindre des choses était de jouir des plaisirs simples de la vie. Roland n'était pas prêt d'oublier cette tempête : il n'en avait jamais connue, et n'en connaîtrait sûrement jamais une aussi dévastatrice.
          
          D'une source sûre, le second du capitaine, Martin, avait reçu une information capitale concernant un nouvel arrivage de rhum et de tabac. Une caravelle espagnole en provenance directe d'Hispaniola — la terre bénie où chaque cargaison rapporte gros sur le marché — était sur le point d'accoster.
          
          La mer était calme, et un épais brouillard s'était levé. Même la déesse des eaux semblait de leur côté. Ils ne pouvaient pas être plus dans le faux. Le voile blanc des océans aveugla les Espagnols, qui ne connurent pas une mort douce aux mains du flibustier le plus craint de tous...