Et des fois je ne sais juste pas pourquoi je continue à te parler, à faire des efforts, mais peut-être que je devrais arrêter, et je le ferai bien un jour, quand je serai fatiguée d’essayer, quand tu m’auras poussée à bout, quand je ne ressentirais plus rien à part du vide pour toi, quand nous ne serions que des inconnus mais sans souvenirs, comme si tout ce que nous avions construit n’avait jamais existé, comme si "nous" n’avions jamais existé, comme si ce n’était qu’une simple illusion, un beau mensonge que je me forçais à croire.