C'est bizzare non? Si étrange, mais tellement parfait en même temps.
Qui aurait pu imaginer qu'un jour oui je t'aimerai, qui aurait pu deviner, il y a quelques temps, que je m'attacherai autant.
Comment pouvons-nous savoir?
Comment pouvons-nous deviner ce qui nous attends comme journées?
Ne pouvons-nous nous pas juste savoir, d'une manière quelconque, ce que le destin nous réserve?
Le destin, parlons en du destin justement, est-il vraiment tracer?
Comment savoir, si nos choix sont les bons? Que s'en succédera? Que ce passera-t-il par la suite?
Comment ne pas regretter? Toutes nos conneries du passé.
Comment éviter nos bêtises à venir?
Comment faire?
Comment réussir à profiter, à profiter de ce présent sans se poser toutes ces questions?
Tout ce que je sais n'est que tout est éphémère, cette relation si passionnelle, cette amour tellement fort, cette vie si banale, si utopique...
Nous positivons tous nos malheurs, rendant notre idéal, ce mélange peu homogène d'amour et de haine
De peine et d'heurs
De vie et de mort
De passions et d'habitudes
Nous profitons, du mieux que nous le pouvons, de ce que nous avons, se satifaisant un maximum, oubliant nos soucis, et évoquant nos moments les plus agréables, les plus heureux, les plus satisfaisants.
Nous plongeons alors dans ce mirage qu'est notre quotidien de la vie pourrie, travestie avec le temps, et devenue telle une chance incroyable, une opportunité a ne pas rater, dont tout être se voit obliger de profiter, insultant, abaissant, rejettant toute personne, ayant l'audace, le courage et le culot d'ouvrir les yeux, de se rendre compte de l'absurdité de ce mirage, de cet idéal tant féliciter, tant admirer mais sans aucune utilité.
Et c'est sur ces mots, que je conclut avec toute aisance, qu'au final, malgré tout ce qu'ils disent, la vie, cette vie, n'en vaut pas le coup, au de-là de l'amour, la passion, la joie et les merveilles que nous avions vécu, que nous vivons et que nous vivrons qui sait, dans les temps à venir.
