Yo, je m'appelle Cim. Oui, je sais, ça sonne comme le nom d'un super-héros, mais croyez-moi, mes pouvoirs se limitent à appuyer frénétiquement sur mon téléphone et à dribbler un ballon de basket. Alors, attachez vos ceintures, car nous plongeons dans l'univers de ma Supercell addiction! 

D'un côté, j'ai le monde palpitant de Supercell. En fait, j'appelle ça ma thérapie de groupe, sauf que mon groupe, ce sont des personnages de jeux vidéo! Clash of Clans, Brawl Stars... Si vous cherchez un expert pour construire des châteaux en bois ou pour tabasser des petits bonhommes, je suis votre gars. Mon rêve ? Devenir chef d'un clan où chacun a son propre jeu, avec moi en train de survoler tout ça, super-héros des pixels! 

Mais un instant! Si je passe trop de temps sur mon téléphone, qui va dribbler le ballon ? Ah, le basket! Mon deuxième amour. Quand je ne suis pas en train de bâtir des villages en carton, je suis sur le terrain, en train de tenter des tirs à trois points comme si ma vie en dépendait. Avec un joli mélange de talent et d'imprévisibilité un peu comme un chat sur un trampoline. 

Imaginez-moi qui dribble avec la même concentration que quand je cherche à obtenir une légendaire dans Brawl Stars. Je fais des feintes et tout le monde pense que je vais marquer, mais mon tir finit par atterrir sur la plaque. Hilarant, non ? Tout le monde rigole, sauf moi, car je sais que mes soldats virtuels m'attendent.

Au final, ma vie est une montagne russe de jeux vidéo et de paniers manqués. Mais qui a dit qu'on ne pouvait pas jongler entre une Supercell addiction et un amour pour le basket ? Je suis la preuve vivante qu'on peut marquer des points dans les deux mondes, même si parfois, ils se télescopent comme des joueurs de basket en pleine action.

Alors, si jamais vous me cherchez, sachez que je serai là, à frapper le panier... ou à faire exploser des bases, un joystick à la main, en essayant de ne pas rater le prochain rebond. Que la Supercell addiction soit avec moi !