J'aime le présent. J'aime l'accorder à la première du singulier. Je n'aime pas les classiques mais j'aime leur enseignements. J'aime la dichotomie et aussi j'aime gêner en en abusant et en l'inversant. J'aime la poésie et sa subjectivité émotionnelle mais je n'aime pas la démagogie et sa collectivité promotionnelle. Je n'aime pas non plus passer mes mains sous l'eau chaude qui se plissent car jaloux mes avant bras frémissent, par contre, j'aime tordre les fils des esprits de fer qui oscillent dans mes nouvelles sûr d'en connaître les revers pour finalement foncer dans le mur dessiné et se dire "Ah l'enfoiré il m'a bais... le cerveau !". Enfin j'aime mon égaux autant que je le déteste. Je ponctue sur ce paradoxe qui me pousse à écrire, car il est ce que je ne peut pas mesurer, c'est pourquoi Je vous invite à découvrir mon intimité aux travers de mes récits et accepte sans gènes votre critique.