ToaLear
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Un test : Y-a-t-il encore âme qui vive ici ?
ZaySanscomz
@Haru2017 C'est vrai que c'est devenu moins intuitif, moins communautaire et plus lucratif Je pense qu'à partir du moment où il y a eu cette histoire d'argent pour lire certaines œuvres, ça en a découragé plus d'un ... Surtout que pour voir mettre ses écrits en avant c'est pareillement devenu question d'argent alors que c'était les votes et les commentaires -donc le côté humain/communautaire- qui le permettait avant J'ai bien peur qu'on ait perdu cette notion d'interaction avec toutes ces nouvelles mises à jour ...
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Haru2017
Donc là qui vient de réinstaller l'appli ça m'a fait bizarre de voir les mises à jours
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Haru2017
@ZaySanscomz de 2016 à 2019 j'ai totalement actif puis juste avant 2020 j'ai complétement délaissé l'appli car je trouvais qu'il y avait beaucoup trop de changements, cela m'arrivait de passer de temps à autre pour lire puis certains auteurs abandonnés leurs œuvres et ce dont je parler avant on abandonné leurs compte
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Haru2017
Si jamais l'envie te viens de me raconter ta vie je peux te passer un de mes réseaux
ToaLear
Un test : Y-a-t-il encore âme qui vive ici ?
ZaySanscomz
@Haru2017 C'est vrai que c'est devenu moins intuitif, moins communautaire et plus lucratif Je pense qu'à partir du moment où il y a eu cette histoire d'argent pour lire certaines œuvres, ça en a découragé plus d'un ... Surtout que pour voir mettre ses écrits en avant c'est pareillement devenu question d'argent alors que c'était les votes et les commentaires -donc le côté humain/communautaire- qui le permettait avant J'ai bien peur qu'on ait perdu cette notion d'interaction avec toutes ces nouvelles mises à jour ...
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Haru2017
Donc là qui vient de réinstaller l'appli ça m'a fait bizarre de voir les mises à jours
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Haru2017
@ZaySanscomz de 2016 à 2019 j'ai totalement actif puis juste avant 2020 j'ai complétement délaissé l'appli car je trouvais qu'il y avait beaucoup trop de changements, cela m'arrivait de passer de temps à autre pour lire puis certains auteurs abandonnés leurs œuvres et ce dont je parler avant on abandonné leurs compte
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Haru2017
Bonjour ? Bonsoir ?
ToaLear
(L'image précède la pensée)
Que j'ai pensé !
Sans trop vraiment d'émotions
Sans aimer à perdre raison
Quelle utilité ?
J'ai contemplé
Ces foules en désordre
Des gens que je voulais mordre
Qui semblaient bien singulier ...
Qui semblaient bien trop aimer ...
J'ai voyagé
Dans ma chambre j'ai nagé
Je me suis perdu de vue
Puis il m'a retrouvé
Celui-là de la cohue !
Ais-je jugé ?
(Oui, j'ai jugé)
Je les avais mal jaugés
(Bien mal jaugés)
Mais la foule savait danser
(Alors) alors... Alors !... j'ai dansé.
ToaLear
Tourner la page,
À deux pas du péage,
Où soudain ce virage,
Allait faire un carnage.
Tourner la page,
C'est trop dur c'est trop sage.
C'est tout comme un mariage,
Entre moi et ma rage.
Tourner la page,
Pour y voir un mirage,
Loin de la fleur de l'âge,
Je m'approche du rivage.
Tourner la page,
Oh oui enfin je nage.
Qui fera bien barrage,
À Noyade qui s'engage ?
ToaLear
Il sombrait dans la nuit,
Mon cœur rempli d'ennui ;
Contemplant le rivage,
Contemplant le vieux sage.
Il lui criait qu'ici,
Pleuraient des âmes sans vie,
Qui furent tuées par l'âge ;
Froideur dans leurs visages.
Je me souviens de l'Homme,
Jeune parti faire un somme.
Son esprit en bataille,
Il revivait la Somme.
Il n'y avait point de dédain,
Dans la bataille de Verdun,
Quant on aimait Pétain,
Quand pleurer était vain.
Tous ces morts oubliés,
Que je vois à mes pieds ;
Qui faisaient notre passé,
Qui couraient trépasser.
Tous ces morts oubliés,
Toi dis-moi qui tu es ;
Songes-tu à exister,
Toi qui t'es oublié ?
ToaLear
2/2
Première partie lancée, commençant d'jà à m'en lasser,
"Je devrais m'en aller, sans moi pourrez-vous continuer ?"
Une réponse des plus froides ne tarda pas à me gêner :
"Ne tache pas de te lever mon revolver est rechargé."
Alors j'ai tout misé je voulais vite en terminer.
Sur ce carré d'as c'était joué, tout le monde a répliqué.
Seulement voilà le drame, l'excès de confiance ce danger :
"Quinte flush royale", la diablesse, ne s'était pas couchée.
Me lever mollement j'emprunta la porte vainement.
"Où penses-tu donc aller ? Il te reste à miser ton sang."
Je compris soudainement qu'j'en ressortirai pas vivant.
"Étienne viens t'asseoir, je n'voudrais pas faire mon sanglant."
Cette deuxième partie allait me donner une leçon,
"Jouez donc bande de sauvages je n'mordrai pas à l'hameçon."
"Si sûr de toi garçon, je mise donc mes bras et mes pieds."
J'ai suivi j'ai échoué, ainsi me voilà estropié.
Jeté dans la poubelle j'allais bien vite finir tué ;
Quand je revis la belle, vilaine, qui souriait au briquet.
"Ne pleure pas pour ton drame ta vie était déjà scriptée.
On ne choisit jamais de quelle flamme on finit brûlé."
La vie c'est un poker quand arrivera la dernière guerre ?
Lorsqu'on donne tout, bien souvent, ne survient que misère.
Du bout de mes doigts je tiens ces cartes veillant au grain.
Car l'Homme n'aura jamais la mainmise sur son destin.
ToaLear
1/2
Allez Étienne, une dernière partie quoi...
-Non les gars, j'ai trop misé, je vais rentrer chez moi.
-Étienne enfin, bois un verre pour oublier ce que t'as perdu, puis place ta mise sur la table de poker...
-Mais miser quoi ? Sur cette table j'ai déjà tout donné.
Le code de ma CB, mes clefs, ç'm'est impossible de continuer.
Je me rappelle maintenant comment tout ça a commencé :
Satanée Naïveté tu finiras par m'consumer.
C'est auprès de cette femme que j'ai éteint ma dernière flamme,
Son regard dans le tram avait vu mon cœur loin d'mon âme.
"Viens jouer avec moi, à la tablée de mes copains ;
Au menu drogue et vin, au poker on prendra ton rein."
Alors je l'ai suivi avec mon regard de zombie ;
J'étais le mort qui gît à qui la Piété r'donnait vie.
Puis vint ce mal de crâne, mille voix qui chantonnaient en chœur :
"Fuis au plus vite cette femme, elle est loin d'être un enfant de cœur."
Alors j'ai blasphémé, couru après l'satané diable,
Lorsque je suis arrivé, trois types un poker et une table ;
Leur alcool imbuvable, mes maux devenaient invivables.
Sablier vidé de son sable, Décadence m'sembla immanquable.
ToaLear
Parce qu'on nomme l'ange Gabriel,
Qu'il prenne ma fille sous son aile.
Si l'amour tire à balles réelles,
Qu'il troue mon cœur tendre et si frêle.
Lui ferais-je voir monts et merveilles,
Lors d'une partie au bois vermeil ?
Qui mettant ma console en veille,
Finirait au creux des oreilles.
Toi, l'innocence de nos Cosettes,
Au cœur si proche de l'alouette ;
D'un bleu marine tu sembles faite,
D'adrénaline, d'ambiance de fêtes.
Et dans le froid où tu tes mains gèlent,
Mon crâne chauffe et mes sens s'emmêlent ;
De ton ciel pleut des hirondelles,
De tes yeux je me veux prunelles.
Aujourd'hui,
Tu es belle.