J'ai toujours eu la tête dans les étoiles. Avec l'âge, mon imagination débordante d'idée ma permis de créer enfin mon propre roman « Bracksville la ville des héros »
Mon rituel commençait toujours par la relecture des dernières pages écrites la veille. Cela me permettait de replonger dans l'atmosphère de Bracksville, de ressentir le rythme de ce monde fictif et de me reconnecter avec mes personnages. Puis, inspiré par les rencontres et les lieux que je parcourais, j'entamais l'écriture de nouvelles scènes, souvent celles des confrontations épiques entre héros et antagonistes, ou les moments intimes de réflexion personnelle de mes protagonistes.
L'après-midi était consacré à la recherche et à l'élaboration de l'univers de Bracksville, même pendant mon travail. Je me plongeais dans mes pensées pour tenter de décrire des traités de technologies futuristes et des récits épiques pour enrichir la toile de fond de mon roman. Ces sessions de recherche étaient cruciales pour assurer la cohérence et la profondeur de l'univers que je créais.
Pour dépeindre l'essence de « Bracksville, la ville des héros », j'ai adopté une approche immersive, enracinant chaque détail dans une réalité tangible, tout en laissant la Science-fiction tisser sa toile. Je m'efforçais de peindre, dans mon esprit, chaque scène avec une précision cinématographique, invitant le lecteur à s'immerger complètement dans l'univers que je construisais pierre par pierre.
Je tissais également des liens profonds entre les personnages et leur ville, reflétant la manière dont leur environnement influençait leurs motivations et leurs actions. Chaque antagoniste et protagoniste portait en lui une parcelle du monde que je créai, et chaque détail de mon histoire est, je pense, bien décrite.
J'adoptais aussi une méthodologie de « cartographie mentale », où je créais des cartes détaillées de la ville, du monde, me permettant de naviguer avec aisance et d'en partager les secrets cachés avec le lecteur.