J’ai enfin tourné la dernière page de Keyana et Dijbril, et je ressors de cette lecture le cœur à la fois rempli et un peu lourd. J’ai adoré suivre l’évolution de chaque personnage, plonger dans leur histoire, ressentir leurs joies, leurs luttes et leurs blessures. L’écriture rendait si facile le fait de se mettre à leur place que, par moments, j’avais l’impression de vivre les scènes à leurs côtés. Leur parcours est un mélange d’amour, d’amitié, d’humanité et de pardon une véritable leçon sur la résilience et la rédemption.
Je lis cette histoire depuis sa première version, il y a déjà plusieurs années, ce qui me ramène à mes débuts d’adolescente. Elle m’a accompagnée dans des périodes parfois difficiles, me rappelant que même au cœur de la douleur, il existe toujours une lumière. Keyana et Dijbril ont été pour moi bien plus qu’un simple récit : ils ont été une bouffée d’oxygène, une échappatoire, et parfois même un miroir où je retrouvais des morceaux de moi-même.
Aujourd’hui, je suis heureuse d’avoir tenu jusqu’au bout et de ne pas avoir lâché cette histoire, mais je ressens aussi cette petite tristesse de devoir avancer, comme si je laissais derrière moi une partie de ma vie. Peut-être que grandir, c’est aussi accepter de fermer certains chapitres tout en gardant en soi les personnages et les émotions qu’ils nous ont offerts. Je pourrai toujours dire, avec fierté et reconnaissance, que Keyana et Dijbril ont marqué mon parcours personnel et qu’ils resteront gravés dans ma mémoire, comme un souvenir chaleureux auquel je pourrai revenir lorsque la vie semblera trop lourde.
Merci encore ❤️❤️❤️.
