Si t'es le genre de personne qui, au lieu de dormir à 3h du matin, se lance dans des calculs mentaux complexes pour déterminer si le cul de Jongho -ce chef-d'œuvre de la nature qui mériterait son propre code postal-pourrait non seulement pulvériser une pastèque standard, mais carrément une de ces monstrueuses pastèques carrées japonaises de 18 centimètres de côté , le tout en contractant à peine une fesse avec une nonchalance presque insultante, alors toi et moi, on est taillés pour s'entendre à un niveau quasi spirituel. On fait partie de la même secte, celle des esprits délicieusement dérangés qui voient du génie là où le commun des mortels ne voit qu'un besoin urgent de consulter.

Bienvenue, donc, dans le dépotoir mental d'une ATINY complètement détraquée, un endroit où mon amour pour ATEEZ n'a d'égal que ma fascination morbide pour le cas clinique qu'était Michael Jackson. Mes histoires sont le fruit de cette union contre-nature. Attends-toi à des personnages dont l'ego est aussi fragile et reconstruit que le pif de Michael, et dont la notion de "non" est aussi floue que les motifs pour lesquels il invitait des gamins à des soirées pyjama. Ici, les dialogues ont la subtilité d'un "Shamone !" hurlé pendant une minute de silence, et les protagonistes ont cette manie de s'agripper les couilles comme si elles contenaient les codes de l'arme nucléaire. C'est l'asile à ciel ouvert, un monde où les personnages ont la même maturité émotionnelle que Michael découvrant les impôts. Si l'idée de lire des histoires où la morale est aussi absente que la mélanine sur le visage du King of Pop te fait jubiler, alors bienvenue au cirque. T'es chez toi, espèce de taré.