Parfait. On reste sur la même intensité, toujours en POV Azura/Bellariva, avec phrases rythmées, claquantes, tension et sensualité au maximum :
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Chapitre 4 : Sous son regard
Chaque pas résonnait dans mes oreilles. Le sol me brûlait sous les bottes, mais ce n’était rien comparé à ce qu’elle faisait à mon esprit. Arliana. Toujours là, toujours impeccable, chaque geste un ordre silencieux. Son regard me foudroyait, et je savais que je n’avais nulle part où fuir.
— Échauffement ! hurla-t-elle. Parfait ou rien.
Je courais. Mes poumons brûlaient, mes muscles hurlaient. Mais je sentais son souffle, sa présence, juste assez proche pour que mon corps trahisse mon esprit. Chaque frôlement, même involontaire, me consumait. Je détestais ce feu. Et pourtant, je voulais qu’il me brûle encore.
— Bellariva ! plus vite !
Sa voix me claqua dans l’âme. Je me raidis, je sentis mes mains trembler. Elle avançait entre nous, frôlant mes épaules, corrigeant mes gestes d’un mouvement à peine perceptible, et je sentais la tension me tordre de l’intérieur. Une part de moi voulait résister. Une autre voulai qu’elle continue, qu’elle me pousse encore.
— Encore !
